Pronote Mario Meunier Parents – Le Collège Mario Meunier est situé sur la commune de Montbrison (code postal : 42600), dans la région Loire en Auvergne-Rhône-Alpes. Cette école publique fait partie de l’Académie de Lyon et accueille 1319 élèves. Ouvert le 1er septembre 1958, ce collège est l’un des nombreux financés par le ministère de l’Éducation nationale.
On ne sait pas si les élèves du Collège Mario-Meunier ont été vaccinés ou non.
Les 1325 élèves de l’école tentent de “récupérer l’ordinaire” après avoir vécu “l’extraordinaire”. Les structures de la vie scolaire aussi. Face à une équipe aussi soudée que celle-ci et avec autant de protocoles qu’il semble toujours y en avoir, on il faut pousser les murs… Un dédale d’immeubles, de couloirs, d’enceintes où se côtoient et se mêlent les jeunes du Forez… 1 325 élèves sont inscrits dans le plus grand collège métropolitain de France.
Des dizaines de protocoles ultérieurs
En s’aventurant dans la vaste maternité, le défi de mettre en œuvre de nouveaux protocoles de santé stricts d’ici mai 2020 devient immédiatement apparent. Nous avons suivi la procédure à la lettre, sinon plus. Il n’y avait que 260 personnes à l’époque (c’était il n’y a pas si longtemps).
Lundi, l’école secondaire Mario-Meunier de Montbrison a accueilli ses 280 élèves de 6e et 5e année.
Robert Radosta, le directeur de l’école intermédiaire Mario-Meunier, n’a qu’une idée en tête ces temps-ci : faire obéir ses 280 élèves aux gestes interdits. Environ deux cents adultes (enseignants, moniteurs, personnel d’entretien et de nettoyage) l’aident. Saviez-vous que le mot “fournisseur” vient du mot latin “providere” C’est notre mode de vie.
Sauf que cette fois nous devons composer avec les précipitations et maîtriser les procédures d’hygiène avec lesquelles nous ne sommes pas familiers. Lundi, le corps professoral et le personnel du plus grand collège métropolitain de France ont accueilli à bras ouverts 150 élèves de sixième et 130 élèves de cinquième.
Aucun seuil n’a été franchi le 18 mai et ne le sera plus à l’avenir grâce à des zones soigneusement séparées pour les différentes tranches d’âge. Les enfants ont accès à l’entrée principale et au pavillon d’Allard, tandis que les étudiants plus âgés ont leur propre entrée depuis la Place Bouvier. Les 48 heures qu’ils ont passées à voyager de la maison à l’école, aux portes du collège, au sol des bâtiments, et enfin à la porte de leurs salles de classe, n’ont rien à envier aux habitants des zones de haute sécurité.
Robert Radosta explique que ses équipes n’ont eu que quelques jours pour digérer un protocole sanitaire de 54 pages, et que cela doit devenir une routine. Ici, deux cents personnes sont employées. Nous avons augmenté le nombre de réunions inaccessibles avec les enseignants et les administrateurs à plus de dix. Nous avons mis de l’ordre en établissant des règles strictes. Tous nos éducateurs ont reçu une formation à l’utilisation des gestes d’interdiction.
La méthode de désinfection tête à tête
De nos jours, les élèves changent rarement de classe. Pas même à table. Et là est le hic : le personnel de désinfection doit tracer chaque infiltration au virucide. Puisque les portes sont verrouillées, vous n’aurez plus à retourner aux meubles pour récupérer les clés toutes les quelques minutes. Il y a encore des escaliers et des rampes à gravir sans l’aide d’une machine : 70 marches par volée, réparties sur cinq étages de bâtiments historiques.
“Avec vingt-cinq salles de classe et vingt et un vendeurs, on devrait pouvoir s’émanciper”, songeait Robert Radosta. Afin d’atteindre cet objectif, il a recentré l’attention du personnel interne (qui était confiné dans l’attente d’une nouvelle commande) sur lui-même, et les dames de la cantine sur les soins personnels. Étant donné que les micro-ondes et les réfrigérateurs de l’école sont hors service cette semaine, les élèves ont été invités à apporter un déjeuner froid à la place. Le directeur garantit que les préparatifs seront terminés d’ici le 25 mai.
L’établissement devrait pouvoir accueillir 80 semi-retraités dans un seul service, ce qui est bien loin des ratios pré-Covid (où un millier de jeunes prenaient généralement leurs repas sur le campus). Les étudiants internationaux seront privilégiés. Robert Radosta spécule : « Peut-être pourrons-nous passer à deux services début juin. Le petit-déjeuner sera servi sur une table plate, et nous devrons nettoyer après nous entre les repas.
Des activités telles que les étirements et la marche déguisée en EPS
Insondable montagne de tête dont la bibliothèque et la salle de gym ont été exclues. Les élèves participeront aux cours d’EPS, mais ils se dérouleront à l’extérieur et debout. Presque tout était interdit, alors nous avons proposé des cours de yoga en plein air et des promenades. Pour le moment, nous résiderons dans les limites du campus universitaire (qui s’étend sur près de cinq acres, N.D.L.R.). Ensuite, nous parlerons au maire pour voir s’il y a un moyen d’acquérir des zones adjacentes, comme la forêt.
Comment doit-on se préparer à l’éventuelle arrivée des élèves de 4e et 3e année en juin? En ce qui concerne cette question déconcertante, Robert Radosta n’a pas de réponse concluante. Nous n’aurons pas d’autre choix que de licencier les enseignants inefficaces et de ne voir les élèves qu’un week-end sur deux. Le leader ne semble pas inquiet malgré son épuisement apparent, et il est bien protégé.
Le 16 novembre, un grand groupe de nos étudiants s’est rendu au centre de loisirs de Draveil pour participer à la rencontre interdistrict UNSS. Soixante-quinze coureurs ont pu trouver un parcours adapté parmi ceux proposés, qui incluaient la compétition formule benjamin.e.s et minimes et l’animation formule benjamin.e.s, moins axée sur la vitesse.