Photos De Céline Quatennens – Après que la femme de son mari a publié une déclaration alléguant des abus physiques et émotionnels pendant des années, la législatrice LFI a demandé à son caucus d’entendre sa version de l’histoire. Clémentine Autain, comme beaucoup d’autres élues Insoumis, a été interloquée et sidérée par ce qu’elle a lu dans le communiqué de Céline Quatennens mercredi vers l’heure du déjeuner.
En effet, par l’intermédiaire de son avocat, l’épouse du délégué des Insoumis du Nord Adrien Quatennens a révélé qu’elle subissait “des violences physiques et morales” de sa part depuis “plusieurs années”. Je fais face à sa rage, à sa dépression et à diverses formes de violence physique et émotionnelle depuis un certain temps maintenant. J’ai voulu divorcer trois fois ces dernières années, et à chaque fois j’ai cédé sous la pression et j’ai renié ma parole.
Des faits bien plus lourds, bien plus graves donc, qu’une seule gifle reconnue jusqu’ici par le proche lieutenant de Jean-Luc Mélenchon depuis les premières révélations sur cette affaire de violences conjugales le 18 septembre.
La députée LFI de Seine-Saint-Denis a déclaré au Figaro : “Le décalage entre la qualification juridique rendue publique hier et cette déclaration de Céline Quatennens me semble évidemment vrai.” En effet, le 22 novembre, le public a été informé qu’Adrien Quatennens comparaîtrait en justice le 13 décembre pour un « plaider-coupable ».
Une procédure clémente proposée aux délinquants mineurs qui s’avouent coupables et assument la responsabilité de leurs actes. La députée LFI déclare : “J’espère que notre groupe pourra entendre Céline Quatennens si elle le souhaite.” Lorsque nous prenons une décision concernant Adrien Quatennens, nous devons tenir compte à la fois de sa contribution et de celle d’Adrien. En termes simples, nous devons être justes et à l’écoute.
La députée LFI de Seine-Saint-Denis a déclaré au Figaro : “Le décalage entre la qualification juridique rendue publique hier et cette déclaration de Céline Quatennens me semble évidemment vrai.” En effet, la convocation d’Adrien Quatennens pour le 13 décembre pour un « plaider-coupable » a été rendue publique le 22 de ce mois. Lorsque l’auteur présumé d’un délit mineur s’avoue coupable, une procédure clémente est proposée.
La députée du groupe parlementaire LFI a déclaré : « Je souhaite que notre groupe entende Céline Quatennens si elle le souhaite. Lorsque nous prenons une décision concernant Adrien Quatennens, nous devons tenir compte à la fois de sa contribution et de celle d’Adrien. En termes simples, nous devons être justes et à l’écoute.
Car le triple candidat à la présidentielle a rapidement affiché son soutien à son lieutenant dans ce violent incident. Une démonstration de soutien trop enthousiaste suite aux premières révélations de septembre du Canard enchaîné, sans même un mot de réconfort pour l’épouse, lui vaudra une sévère réprimande.
Quelques jours plus tard, le 9 octobre, Jean-Luc Mélenchon défendait vigoureusement le retour d’Adrien Quatennens à l’Assemblée dans Dimanche en politique sur France 3. Parallèlement, il souhaitait “que les lynchages cessent”. Les médias lui nourrissent constamment les mêmes blagues politiques du matin au soir.
Ce proche ami politique d’Adrien Quatennens avait ajouté : “Ce n’est pas un violent parce qu’il a été violent une fois ça fait plus d’un an.” A cette époque, Clémentine Autain avait pris ses distances avec les propos du chef de terrain des Insoumis. Le législateur a rapidement riposté sur BFMTV en déclarant : « Je ne suis pas d’accord avec la façon dont il prend cette histoire qui, à mon avis, mérite d’essayer de s’inscrire dans la perspective du combat que nous menons : la lutte contre violences faites aux femmes. »
Le député de Marseille Manuel Bompard, autre homme fort du mouvement intervenu après le départ à la retraite d’Adrien Quatennens, avait déjà affirmé une position idéologiquement proche de celle de Jean-Luc Mélenchon. Il avait dit en septembre : “Un gifler n’est pas à la hauteur d’un homme qui bat sa femme tous les jours.”
Depuis le 18 septembre, La France insoumise est privée de son coordinateur clé, Adrien Quatennens. Mi-septembre, la mairie de Lille a lancé une première enquête dans le cadre de sa « politique de justice pénale volontaire pour le traitement des violences conjugales ».
EXCLUSIF : L’épouse du législateur LFI a publié un communiqué dans lequel elle accuse son mari de “violences physiques et morales” pendant “plusieurs années”. Elle a demandé que son parti parlementaire l’écoute.
Clémentine Autain, comme beaucoup d’autres élues Insoumis, a été interloquée et sidérée par ce qu’elle a lu dans le communiqué de Céline Quatennens mercredi vers l’heure du déjeuner. En effet, par l’intermédiaire de son avocat, l’épouse du délégué des Insoumis du Nord Adrien Quatennens a révélé qu’elle subissait “des violences physiques et morales” de sa part depuis “plusieurs années”.
Je fais face à sa rage, à sa dépression et à diverses formes de violence physique et émotionnelle depuis un certain temps maintenant. J’ai voulu divorcer trois fois ces dernières années, et à chaque fois j’ai cédé sous la pression et j’ai renié ma parole.
Des faits bien plus lourds, bien plus graves donc, qu’une seule gifle reconnue jusqu’ici par le proche lieutenant de Jean-Luc Mélenchon depuis les premières révélations sur cette affaire de violences conjugales le 18 septembre.
La députée LFI de Seine-Saint-Denis a déclaré au Figaro : “Le décalage entre la qualification juridique rendue publique hier et cette déclaration de Céline Quatennens me semble évidemment vrai.” En effet, la convocation d’Adrien Quatennens pour le 13 décembre pour un « plaider-coupable » a été rendue publique le 22 de ce mois.
Une procédure clémente proposée aux délinquants mineurs qui s’avouent coupables et assument la responsabilité de leurs actes. La députée LFI déclare : “J’espère que notre groupe pourra entendre Céline Quatennens si elle le souhaite.” Lorsque nous prenons une décision concernant Adrien Quatennens, nous devons tenir compte à la fois de sa contribution et de celle d’Adrien. En termes simples, nous devons être justes et à l’écoute.