Mort Saint-Jean-De-Luz Aujourd Hui – lycéen pour le meurtre d’un enseignant avec un poignard . Avec sa mort prématurée à l’âge de 52 ans, la professeure d’espagnol Agnès Lassalle a laissé un vide dans le cœur de ses élèves et collègues à travers le pays. Astucieuse, elle l’était”, a déclaré Serge Hastoy, délégué Pays-basque du Parti socialiste d’Europe et du Parti communiste de l’Union soviétique.
Nos amis du Sud-Ouest ont recueilli plusieurs témoignages qui brossent le portrait d’un individu “sans histoire” qui manifestait au quotidien une “véritable volonté de faire du bien à ses élèves”, selon les mots d’un enseignant à la retraite.
Aucun enfant n’a été mentionné pour cette personne, et nos amis communs ont soutenu qu’elle avait toujours élu domicile à Biarritz avec son compagnon. Et il n’a pas oublié de lui donner des accessoires alors qu’il discutait avec ses confrères de RTL mercredi : “Vous dites qu’elle a consacré 90% de son temps à son métier”, a-t-il dit.
Beaucoup d’anciens élèves se souviennent avec émotion de leurs professeurs : « Il était clair qu’elle avait une véritable passion pour son travail. toujours présente et toujours à l’heure », comme l’a témoigné l’un d’entre eux. Une autre se souvient de la salutation par laquelle l’enseignante saluait toujours ses élèves : “Buenos dias a todos, sentaos” (Bonjour à tous, asseyez-vous, ndlr).
A Saint-Jean-de-Luz, le ministre de l’Education, Pap Ndiaye, a déclaré : “C’est un triste jour pour l’Education nationale et, bien sûr, pour cette institution”. Il a été rejoint par son homologue au ministère de la Fonction publique, Stanislas Guerini. Le « dévouement exceptionnel [de la victime] au service de ses élèves » a été évoqué par cet individu.
Aucune connotation terroriste du tout
La vérité est qu’un élève de 16 ans a tué l’enfant de 5 ans en classe un mercredi matin. Après les événements, le suspect de l’agression a été appréhendé et conduit dans une cellule de détention. Selon le parquet, les policiers sont actuellement en mesure de l’entendre.
A lire également : Un professeur de lycée a été assassiné par un de ses élèves à Saint-Jean-de-Luz ; les détails de la tragédie sont les suivants: un coup de couteau et un étudiant “possédé”.
Selon une source proche du dossier, au moment où la police est arrivée vers 09h50, l’agresseur “avait été désarmé, la scène était figée, et les étudiants confinés”. La source a également indiqué que l’agresseur “avait en sa possession un boiteux vraiment massif, d’au moins 10 centimètres. En effet, l’étudiant s’accrochait à une collection d’idées décousues”, incorporait cette information dans l’article. Il y a actuellement une enquête ouverte sur un éventuel meurtre.
Bonjour à tous; quelque chose qui me dérange vraiment, c’est que même trois ou quatre étudiants ne se seraient pas portés volontaires pour aider à neutraliser cette personne ; il était évidemment préparé à cela et avait des problèmes démoniaques; que diable faisait-il dans une école ordinaire? entendre des voix venant de qui?
de Mahomet ou Allah ou diabolique ou satanique, vaut-il toujours mieux passer quelques mois dans un asile psychiatrique puis rentrer chez lui et recommencer que de passer 15 ans en prison ? Les roses et les marches blanches n’aident personne, pas plus que porter un jugement sur les malades mentaux.
Inès, qui n’a que 16 ans, a du mal à comprendre ce qui s’est passé. Mercredi matin, l’un des élèves du collège-lycée privé de Saint-Jean-de-Luz (Pyrénées-Atlantiques) s’est levé de son siège au premier rang et a poignardé l’enseignante dans le dos alors qu’elle donnait un cours en Espagnol. À la suite de ses blessures, elle mourra bientôt. L’auteur présumé, âgé de 16 ans, a été interrogé et placé en garde à vue. Une enquête sur cet « assassinat » présumé a été ouverte et confiée aux forces de l’ordre.
Ce qui s’est passé est arrivé très vite. et lui a planté un gros couteau dans la poitrine sans rien dire.” Un élève raconte : « Il n’y a pas eu autant de cris que ça ; l’un de nous a ouvert la porte qui menait à une autre classe, et nous nous sommes tous précipités par là.
À son plus grand embarras, elle admet qu’elle ne peut pas se souvenir de son nom complet. Lorsque la porte s’est ouverte, elle a couru “loin avec une connaissance, à l’extérieur de l’établissement”, devant les parkings qui l’entourent, en quête de “sécurité”. Je n’y ai pas beaucoup réfléchi. Depuis le drame, elle est incapable de parler avec ses camarades de classe. Elle a paniqué et a laissé son sac à main, son téléphone et son manteau sur le sol de la classe.
Tom, quant à lui, était en classe dans un autre bâtiment. Nous étions au milieu de la classe et il nous restait deux heures d’histoire ; il était probablement environ 10 heures quand on nous a dit de sauter la récréation en faveur d’un “exercice de sécurité”. Nous savions que quelque chose s’était passé parce que tout le monde avait sorti son téléphone et parce que des rumeurs avaient commencé à se répandre, a-t-il déclaré.