Mort De Louis 2 De Bavière

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Mort De Louis 2 De Bavière

Mort De Louis 2 De Bavière – Alors que les réponses à bon nombre des plus grands mystères de l’histoire ont été trouvées, personne ne sait avec certitude ce qui est arrivé au roi Louis II de Bavière.Le 13 juin 1886, à minuit. Le roi Louis II de Bavière est décédé.

Son corps a été repêché dans les eaux du lac de Starnberg, à une vingtaine de kilomètres au sud-ouest de Munich, vers 22h30, mais l’ancien suzerain de 40 ans n’a pas pu être ramené à la vie après une heure de RCR. Un autre homme s’assoupit à ses côtés. Un peu après 18 heures, il est rejoint en promenade par son psychiatre, le Dr von Gudden, à qui il avait demandé de l’accompagner.

Un noyé assoiffé sans eau dans sa vessie

Des traces de coups étaient visibles sur le visage du docteur von Gudden, et l’un de ses ongles avait été repositionné. Le corps du roi était indemne. De plus, l’autopsie montrera qu’il n’y avait pas d’eau dans les poches, comme le rapporte Catherine Decours dans la rubrique de l’anthologie “Les énigmes de l’histoire du monde” qui vient de paraître aux éditions Perrin et qui est consacrée à cette mort suspecte.

L’horloge royale s’est arrêtée à 18h54, tandis que celle de Van Gudden s’est arrêtée à 20h06. Bien que de nombreuses personnes aient souligné que le médecin avait oublié de régler sa montre, le docteur Müller a expliqué que son “patron” n’avait pas de clé pour régler l’heure, et l’historien et auteur qui a également écrit une biographie de Louis II a noté que le décalage dans le temps fait couler beaucoup d’encre.

Près de 133 ans plus tard, le mystère de ce qui est exactement arrivé à celui qui a régné sur la Bavière pendant 22 ans n’a toujours pas été résolu. Rappelons que le roi Louis II séjournait dans la région depuis la veille. Il a été déclaré fou, institutionnalisé et déshérité par le gouvernement bavarois, et a passé ses dernières années dans ce château au bord du lac.

Il existe trois explications potentielles à cette mort inattendue, chacune avec son propre ensemble de résultats possibles, dont certains sont enveloppés dans une atmosphère trouble de complots destinés à obscurcir la vérité.

L’un suggère un assassinat, tandis qu’un autre suggère la bavure d’un gendarme ou d’une autre personne qui avait malicieusement attiré sur le roi en fuite. Selon les deux scénarios, il a reçu une balle dans le dos, contredisant le récit officiel selon lequel son corps était indemne. Sans parler de la façon de rendre la mort du médecin limpide.

“Fuyez, courez, cachez-vous à tout prix”

La troisième possibilité concerne une noyade décédée dans un accident ou suicidée. Si c’était le cas, le docteur von Gudden aurait été tué par Louis II. Cependant, l’autopsie révèle que les poches d’eau du roi étaient sèches. Catherine Decours demande : “Alors, que s’est-il passé ?”

Et de signaler que le docteur Hervé Lerat, expert en médecine légale situé près de la cour d’appel de Rennes, a ruminé le rapport de l’époque et est parvenu à la conclusion qu’il y avait eu hydrocution. Même si la température de l’eau n’était que de 12 degrés Celsius, le monarque dechu ivre avait l’estomac plein et buvait beaucoup ce soir.

Le médecin est peut-être aussi mort d’hydrocution. Cependant, comme le souligne l’historien, cela n’explique toujours pas ce que les deux hommes faisaient dans le lac. Elle affirme que le roi Louis II aurait pu se suicider dans son château de Neuschwanstein dans les jours précédant sa découverte.

Après avoir réussi à neutraliser son psychiatre, le fait que ce marin expert soit entré dans le lac non loin d’un navire échoué et après s’être débarrassé de certains de ses vêtements l’incite à envisager la théorie de l’évasion.

Car, comme elle le souligne, “le roi avait confié : “l’évasion est mon penchant fondamental”, et l’impulsion qui l’a poussé à courir vers l’eau semble avoir été celle qui l’a guidé tout au long de sa vie” (elle souligne cette partie ). *”Les énigmes de l’Histoire du Monde”, sous la direction de Jean-Christian Petitfils, aux éditions Perrin (mai 2019), en un volumineux 416 pages.

Pour 21 euros en librairie. Vingt histoires fascinantes sont racontées, dont celles de l’assassinat de John F. Kennedy, de la découverte de l’Atlantide, de la mort de Lady Diana, de Shakespeare, du loup solitaire de Turin, de Jack l’Éventreur, de la grande-duchesse Anastasia et du pharaon Akhénaton.

Louis II de Bavière a réussi à envelopper toute sa vie de mystère. Il y a trois grandes questions que l’on peut se poser sur une courte vie : le roi était-il fou ? L’homosexuel ? A-t-il été assassiné ? Alors que les deux premières questions ont aujourd’hui des réponses très simples, la troisième continue de soulever des questions et de susciter des débats.

Mort De Louis 2 De Bavière : 12 juin
1886

Car dans la soirée du 13 juin 1886, deux corps sont découverts flottant sur le lac de Starnberg. Il est vrai que les enquêteurs se soucient peu (voire pas du tout) de l’homme mort à côté de Louis II. La fin tragique du roi est la seule source d’une histoire aussi diverse que controversée. La légende a si bien battu les cartes dans cette littérature qu’il est presque impossible d’en faire une image claire.

Mort De Louis 2 De Bavière

Hélas ! Après le passage des “messieurs”, Lidl est mort, puis son frère, et enfin le carnet a disparu. Toujours le “Nettoyeur”… On n’a retrouvé qu’un petit carnet dans lequel le pêcheur résumait la nuit terrifiante en seulement 59 lignes brèves.

Les partisans de Jacob Lidl soutiennent que ses idées ne sont “complotistes” que si vous ne savez pas comment “lire entre les lignes”, malgré le fait qu’il n’utilise jamais ces mots. Tout commence par la lecture des lignes ; aucun d’eux ne mentionne un roi tué par balles.

Nous avons également accès à une troisième source inestimable : l’autopsie pratiquée à la Residenz le 15 juillet pendant plus de cinq heures en présence de deux responsables gouvernementaux et de douze médecins, tous stoïques complets. Le professeur Maximilien Schleiss von Löwenfeld, le médecin royal officiel qui avait perdu le contact avec son patient en 1870 mais n’avait jamais perdu sa dévotion envers lui, était là.

Tous ces médecins ont inscrit leur nom sur le rapport qui indique que le corps du roi ne présentait aucun signe de blessure à part quelques ecchymoses et éraflures mineures sous ses organes génitaux. Le dos a été vérifié. Le docteur Schleiss aurait passé le reste de sa vie à sonner l’alarme s’il y avait eu la moindre preuve de violence contre le roi.Chaque matin, Franck Ferrand fait revivre l’histoire en mettant en lumière les moments qui ont façonné la date actuelle.

Le 13 juin 1886, le poète-roi de Bavière, ami de Wagner et constructeur de Neuschwanstein, Louis II, meurt dans des circonstances mystérieuses. Puisqu’on ne découvre pas d’eau dans sa bouche, il meurt de noyade, ou plus précisément d’hydrocution. Mais en secret et dans les conditions les moins gênantes. Il avait récemment été qualifié d’« aliéné mental » par son propre gouvernement, dépossédé et placé dans une résidence surveillée près du lac de Starnberg.

Le lendemain, 13 juin 1886, peu après 1800, il demanda à son psychiatre, le docteur von Gudden, de l’emmener se promener le long du lac. Deux heures plus tard, alors que la nuit s’approfondit et que la pluie s’accélère, nous craignons qu’ils ne soient pas encore rentrés chez eux. Et à dix heures trente du soir, non pas un mais les deux corps seront retrouvés flottant à quelques mètres de l’iceberg. Difficile de faire mieux dans des circonstances aussi mystérieuses.

Agression, automutilation, mésaventure… L’enquête révèle des signes de bagarre entre les deux hommes. Il semble probable que le roi ait voulu s’échapper, que le médecin ait tenté de l’arrêter et que Louis l’ait harcelé jusqu’à l’empoignade avant qu’il ne s’effondre et ne meure d’une crise cardiaque. A noter que sa parente adorée, l’impératrice austro-hongroise Sissi, résidait ce soir de l’autre côté du lac.


Louis II a traversé le brouillard nocturne du Starnberg pour retrouver ses héros Siegfried, Lohengrin et Tannhaüser.Né le 25 août 1845 à Nymphenburg, près de Munich, Louis II de Bavière (Ludwig II de Bavière ou Ludwig Otto Frederik Wilhelm von Wittelsbach) vécut jusqu’à sa mort à Berg, en Allemagne, en 1886. descendant du roi Maximilien II Joseph ( 1811-1864) et la reine Marie de Prusse (1825-1889). Pendant son règne (1864–1886), le royaume de Bavière a commencé à s’intégrer à l’État allemand émergent.

Grand féru de culture, il construit une maison d’opéra pour le compositeur Richard Wagner, dont il devient l’acteur principal. Le plus célèbre des châteaux qu’il construit dans une Bavière en voie d’industrialisation est Neuschwanstein, qui repose sur une falaise près de Pöllatschlucht à une altitude de 1008 mètres. Ce n’est que plusieurs années après sa mort que la construction de ce château au design romantique inspiré de la musique wagneria s’est finalement terminée.

Louis II de Bavière ne semble pas se soucier beaucoup des affaires de l’État dont ses ministres semblent s’occuper. En 1866, la frontière bavaroise se déplace vers les frontières autrichiennes. Le roi d’Angleterre a soutenu la Prusse dans la guerre franco-prussienne de 1870 en raison de la pression d’Otto Eduard Leopold von Bismarck-Schönhausen (1815-1898).

Louis II de Bavière se confie fréquemment à sa cousine Sissi, l’ancienne impératrice autrichienne, reine de Hongrie et reine de Bohême, Elisabeth von Wittelsbach. Il rencontre la soeur de ce dernier, prénommée Sophie, et ils se fiancent à la suite de leur rencontre.

Cependant, au grand choc de la princesse, il se retire après quelques mois. Il est possible que le roi ait eu des penchants homosexuels. À la suite de ces développements, son gouvernement est renversé par un coup d’État en 1886 en raison de la désapprobation publique généralisée de sa prétendue folie. Il est soigné par le célèbre psychiatre Bernhard Von Gudden (1824-1886) au château de Berg, au sud de Munich.

Un matin, Louis II de Bavière et son psychiatre sont découverts morts dans l’eau le long du rivage du lac de Starnberg, non loin du château. Agression, automutilation ou accident anormal ? Une citation attribuée du roi, “Je veux rester un mystère pour les autres comme pour moi-même”, prend tout son sens à la lumière de sa mort mystérieuse ainsi que du reste de sa vie et de sa personnalité. Après le décès de Gudden, son fils, psychiatre.

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