
Michel Polnareff Sa Femme – Polnareff montre parfois son côté humoristique dans ce livre sur les règles comptables (“J’ai fait beaucoup de bien et on m’a fait pas mal de mal”). Dans mes fantasmes nocturnes, des envahisseurs extraterrestres attaquent la Terre. Il dit: “Il y en a déjà beaucoup parmi nous”, et on ne sait pas s’il ironise.
Finalement, il a dit : « Tout ce qu’on peut me reprocher, c’est de ne pas avoir survécu jusqu’à un âge avancé. J’espère être gelé dans l’ammoniac le plus longtemps possible après l’expiration de mon corps. Au cas où quelqu’un pourrait allumer un feu sous moi, dit l’interprète de “On ira tous au paradis”.
Son père a écrit des chansons pour la légendaire chanteuse française Edith Piaf, ainsi la musique est dans la famille. Le jeune fils de Leib Polnareff est initié à la musique dès son plus jeune âge. Michel Polnareff a commencé à jouer du piano à l’âge de 4 ans. A 12 ans, il obtient son premier prix de solfège au Conservatoire de Paris. Tout au long de sa carrière, il remportera d’autres récompenses.
Il ne peut pas cesser d’être un musicien même lorsqu’il a servi dans l’armée en 1961. Il est responsable de la grande caisse de l’orchestre militaire. C’est au Sacré-Cœur, où il compte se faire un nom comme guitariste, qu’il fait ses premiers pas musicaux. Une carrière professionnelle prometteuse ne fait que commencer.
Le chanteur a une mauvaise surprise en 1973. De retour d’une tournée à l’étranger, il apprend que son ami le plus proche l’a piégé. Il le découvre juste au moment où il doit payer ses impôts sur un énorme déficit bancaire. Ce chanteur est entré dans une profonde dépression après la mort de sa mère la même année. Après cela, il se décide à partir pour les États-Unis.
Il prévoit de rester jusqu’en 1984. Sa musique est fortement influencée par cette période de sa vie. Par exemple, “Lettre à France” a été écrite par nostalgie de sa propre France. L’artiste est tombé amoureux de la Californie et a souvent fait la navette entre Los Angeles et sa France natale.
C’est la grande surprise qui attend les fans fournis de Michel Polnareff. Michel Polnareff a annoncé qu’il entamera une nouvelle tournée le 24 mai avec une série de concerts qui débutera au Palais Nikaa de Nice. Cela fait suite à la sortie de l’album Polnareff chante Polnareff le 18 novembre ; sur ce disque, l’artiste interprète au piano et à la voix ses plus grands succès.
Vingt représentations sont annoncées, chacune avec une touche originale : Michel Polnreff apparaîtra sur scène au milieu du public. L’interprète de Goodbye Marylou dit (en français) : “J’espère que ça ne tourne pas trop vite et que je ne me transforme pas en micro-ondes.”
Le chanteur s’est une nouvelle fois attribué à nos frères RTL, qui nous ont informés que les spectacles de la prochaine tournée seront répartis en une section piano-voix et une section ensemble.
Gardez à l’esprit que personne ne s’attendait à ce que le chanteur aveugle revienne. En 2016, la mort de l’artiste en décembre a fait l’objet de rumeurs lorsqu’il a subi une embolie pulmonaire modérée lors d’une tournée, forçant l’annulation de nombreux spectacles. Pour se remettre de sa grave crise de santé, Michel Polnareff s’était envolé pour les États-Unis.
En plus des concerts de la tournée, vous pourrez voir la chanteuse dans deux prochains festivals français : les Nuits de Fourvière le 16 juin à Lyon et le Festival de Nîmes le 8 juillet. Voici les dates de sa tournée nord-américaine actuelle.
Débutant le 30 mai au Zénith de Nantes, il se rend ensuite à Poitiers le 31 mai, Orléans le 3 juin, Saint Etienne le 4 juin, Genève le 5 juin, Dijon le 9 juin, Brest le 10 juin, Rouen le 11 juin. , Amiens le 15 juin, Reims le 17 juin, Amnéville le 18 juin, Strasbourg le 22 juin, Bordeaux le 23 juin, Toulouse le 24 juin, Clermont-Ferrand le 30 juin et Douai le 1er juillet. Le 2 juillet 2023, Michel Polnareff se convient à l’Accor Arena de Paris.
Le narrateur dans “Ame Câline” décrit un père tyrannique et violent qui bat son fils et donne du fil à retordre à sa femme. Le chanteur, qui vit en exil à Palm Springs, en Californie depuis 1973 et est le père d’un fils de cinq ans nommé Louka, affirme : “Aujourd’hui, mon père aurait fait de la prison pour ce qu’il a perdu .”
Interrogé sur son fils, il réfléchit aux circonstances de sa naissance (“Je savais instinctivement quoi faire”, dit-il fièrement) et, plus important encore, au “choc” qu’a été la prise de conscience qu’il n’était “pas le génie”. Polnareff a écrit à propos de son “coler” en disant : “L’enfant n’était pas de moi mais d’un donneur de sperme.” Il a pardonné à sa petite amie Danyellah “cette malheureuse décision qu’elle a prise de me donner un enfant coûte que coûte”, dit maintenant le chanteur.
Le chanteur est inébranlable dans sa conviction qu'”elle a commis une maladresse”, et son assurance transparaît tout au long du livre, malgré son aveu qu’il est “quelqu’un qui pleure très facilement”. Le chanteur revient également sur sa vie amoureuse mouvementée. Le narrateur de “Je suis un homme” est catégorique sur le fait qu’il n’est pas homosexuel.
