
Marie Laforêt Cause De Sa Mort – Près d’un an après le décès de Marie Laforêt, nous avons maintenant des réponses concluantes quant à ce qui a causé sa disparition prématurée. La deuxième fille Debora Kahn-Sriber, 46 ans, a pris la parole dans les colonnes de Gala.
Elle a dit tout au long de l’interview que sa mère avait une acceptation pacifique de la mort. Elle avait de bonnes raisons de devenir de plus en plus dévote au fil des années, et elle l’a fait en s’impliquant activement dans sa paroisse.
Elle a dit qu’elle assistait souvent à la messe du dimanche et parlait avec le prêtre prêchant le sermon en lui écrivant des lettres. La chanteuse avait déjà accepté son sort deux mois avant son décès. “Avec ses fortes convictions chrétiennes et religieuses, elle a pu aborder le sujet avec calme.
La dernière fois que la fille aux yeux dorés a porté ses chaussures, c’était il y a presque un an. À l’âge de 80 ans, Marie Laforêt s’est éteinte le 2 novembre 2019. L’actrice et chanteuse s’est éteinte paisiblement en Suisse, où elle vivait depuis 1978, entourée de ses proches. L’actrice de Plein Soleil a profité de sa disparition pour renouer avec ses enfants.
Marie Laforêt a deux filles, Lisa Azuelos (1965) et Debora Kahn-Sriber (1974), et un fils, Jean-Mehdi Azuelos (1967), mais elle ne semble pas très soucieuse de leur éducation. Dans une interview accordée à Libération, la réalisatrice de LOL et de Mon bébé a révélé un détail déchirant sur la retraite anticipée de ses trois enfants.
“Je logeais dans une pension suisse très chic appelée Les 7 nains. C’était une chose terrible à faire. C’était une gifle. Le mal physique et spirituel était considérable. attention à mon petit frère.”
Cependant, Lisa Azuelos ne souhaitait pas que sa mère vive la même tragédie qu’elle a vécue à un si jeune âge “Je lui ai pardonné pour toujours. En fin de compte, toutes les femmes se sentent obligées d’abandonner quand elles font un La carrière de ma mère et le choix ultérieur de se concentrer sur sa famille en tant que femme au foyer n’ont en aucun cas été faits pour me blesser.
En tout cas, en vieillissant, on apprend à avoir moins d’intérêt individuel pour les choses, ce qui est tant mieux.” Une complicité qui a permis à maman et sa fille de passer de nombreux moments heureux ensemble jusqu’à ce que l’actrice disparaisse il y a un an.
Sa sœur, Debora Kahn-Sriber, est moins visible dans les médias mais a accordé cette semaine une interview à l’hebdomadaire Gala. Cela jette un nouvel éclairage sur le caractère de sa mère. La question n’était pas tant celle du pardon que celle de l’accommodement.
Maman était une artiste ; elle se nourrissait de son travail et n’avait besoin de rien en dehors de cela. Nous nous sommes finalement installés dans une relation dans laquelle nous prenions chacun ce qui leur appartenait tout en permettant à l’autre de vivre le sien.”
Voilà plus d’un an que Marie Laforêt est décédée. La chanteuse et comédienne est décédée le 2 novembre 2019, à l’âge de 80 ans en Suisse. Les funérailles auront lieu cinq jours plus tard en l’église Saint-Eustache de Paris, suivies d’une inhumation privée au cimetière du Père-Lachaise.
Ses filles Liza Azuelos et Debora Kahn-Sriber ont fait confiance aux pages d’ELLE le 15 novembre. La rédactrice en chef, Debora Kahn-Sriber, a été visiblement émue par les nombreux hommages des Français et a commencé par dire : « Je pense que sa singularité , ses franc-parlers l’ont toujours rendue attachante aux yeux des gens.” Et Lisa Azuelos d’ajouter : “Je suis contente que tout le monde parle si bien d’elle.
Je suis reconnaissant aux journalistes qui ont reconnu son génie malgré le fait qu’elle n’était pas “la fille aux yeux d’or”. Debora Kahn-Sriber raconte comment sa mère, Marie Laforêt, s’était préparée à la mort et pourquoi elle ne la craignait pas “absolument” dans une interview au magazine Gala (à l’occasion de la parution du livre posthume Nous n’avons pas le choix Mais pour Croire, aux éditions Michel Lafon) en kiosque du 21 octobre 2020.
Avant de dévoiler les circonstances jusque-là inconnues de sa mort, Debora Kahn-Sriber explique : “Elle était vraiment sérieuse sur le sujet car elle était très chrétienne et très croyante.” Ma mère avait un cancer des os qui s’était propagé dans tout son corps.
Debora Kahn-Sriber est proche de sa sœur Liza Azuelos et de son frère Jean-Mehdi-Abraham (tous trois sont issus de pères différents), et elle leur rend hommage. D’autant plus que l’artiste, Marie Laforêt, n’est pas particulièrement éprise de « démonstrations efficaces », et que sa relation avec ses enfants n’a pas toujours été harmonieuse.
De la même manière, Debora Kahn-Sriber glisse dans Nous voulons exprimer à quel point notre mère était vraiment une personne extraordinaire. Nous espérons que d’autres l’apprécient parce que nous l’apprécions, malgré, et peut-être surtout à cause des défis auxquels nous avons été confrontés.
C’est un respect sans bornes pour qui elle est et ce qu’elle a accompli. Enfin, dit-elle Évidemment, je ne suis pas très objective, mais le travail que mon frère, ma sœur et moi faisons est aussi un moyen de se réapproprier son f.
