Lou Jeanmonnot Parents – Semblable à la façon dont le jeune Oscar Lombardot était en décembre dernier. Lou Jeanmonnot-Laurent, également originaire du Haut-Doubs, fait ses débuts cette semaine en République tchèque en coupe du monde de biathlon. Le Franco-Comté occupe actuellement la deuxième place des championnats du monde juniors, la Coupe IBU.
Lou Jeanmonnot-Laurent, une jeune femme du Comtoir français, a récemment rejoint l’équipe française. Son nom complet est Lou Jeanmonnot-Laurent, mais elle est appelée “simplement” Lou Jeanmonnot dans la documentation officielle de l’Union internationale de biathlon (IBU). À l’âge de 22 ans, le natif du Haut-Doubs en France a été choisi pour participer à la meilleure compétition mondiale de biathlon. « Quelle grande joie !
Je ne pourrais pas être plus heureux ; ça va être un “ouf” ! Je doute que je puisse rester très longtemps dans la même pièce avec Tiril Eckhoff (rires) si jamais je la rencontrais (c’est la Norvégienne qui est actuellement la meilleure skieuse du monde), mais je serais heureux de skier à ses côtés une seule fois pour voir où s’arrêtent les compétences des meilleurs skieurs du monde et où commencent les miennes », confie Lou Jeanmonnot-Laurent, au talent lucide. Son excellente deuxième place au classement général de la Coupe IBU lui a valu une place dans la catégorie des championnats du monde.
la coupe du monde “B”, où elle a terminé dans le top dix de six des 12 courses individuelles entre le 14 janvier et le 21 février, dont un podium (troisième du Sprint d’Arber, Allemagne, le 22 janvier) – son deuxième de sa carrière, après une troisième place au Super Sprint de Ridnaun, en Italie, en décembre 2019.
Après une brève « performance fulgurante la saison dernière (33e au total de la Coupe IBU, 25e au classement final en 2018-19) » : « où je me suis dit, si je fais encore deux ans comme ça, j’ai fini.
Cela voudrait dire que j’ai atteint la limite de ce que je suis capable de faire et que je suis désespérément incapable d’améliorer mes performances ; et puis là, j’ai régressé un peu plus loin ; alors, il faut que cette tendance perdure (soupir) « Ce faisant, Lou Jeanmonnot-Laurent démontre son potentiel prometteur.
En 2017, elle a remporté le titre de championne du monde junior dans les épreuves individuelles de 10 kilomètres et de poursuite par équipe, et en 2016, elle a remporté le bronze aux Jeux olympiques de la jeunesse.
Plus récemment, elle a terminé première du classement général de la Coupe IBU Junior en 2018, la même année qu’un autre athlète francophone a remporté un triplé de médailles aux Jeux olympiques d’hiver de Pyeongchang. Si Julia Simon est régulièrement médaillée en biathlon depuis le début de la saison, qu’est-ce que ça donne.
Néanmoins, c’est un début fantastique pour Lou Jeanmonnot. Les Françaises ont encouragé l’Italienne Lisa Vittozzi alors qu’elle remportait l’épreuve individuelle du cinquième tour de la Coupe du monde à Ruhpolding, en Allemagne, le jeudi 12 janvier. Je placerais Lou Jeanmonnot à la deuxième place et Julia Simon à la troisième.
” Je suis fou de joie. Je l’ai fait sous les yeux de mes amis, et ça me rend très heureux. A l’issue de la course, Lou Jeanmonnot a déclaré : ” A partir du quatrième tour, j’ai trouvé ça incroyablement long, mais quand on joue le podium, ça porte. Lors de ma dernière tentative, je réfléchissais beaucoup, mais j’ai réussi à me concentrer et à frapper le vélo couché (ou “plein centre”).
Après avoir signé ses deux premiers 20/20 dans les poursuites à Oslo en mars et à Nove Mesto en 2021, la Franc-Comtoise de 24 ans signera ce jeudi son troisième 20/20 derrière la carabine en Coupe du monde.
En plus d’avoir réalisé la plus haute performance de sa carrière, elle n’a terminé qu’à 39 secondes de la Transalpine au franchissement de la ligne d’arrivée. Et pour ne rien dévoiler, elle en a parlé à son amie Julia Simon. Le huit pour les Saisies, de Savoie, biathlète depuis le début de l’exercice 2022-23.
Julia Simon s’est classée troisième sur le champ de tir avec un 19/20, manquant le clair sur le dernier tir debout. Néanmoins, elle terminait l’opération majeure de la journée en élargissant son avance au classement général. L’actuel leader, identifié par son dossard jaune, a accru son avance sur sa plus proche rivale, la Suédoise Elvira Oeberg, qui a terminé sixième avec un score de 19 sur 20 possibles (+2 minutes, 20 secondes et 5 places).
Philippe Jeanmonnot, qui a débuté comme reporter de ski et compétiteur, a finalement combiné ses deux carrières pour construire la station de ski connue sous le nom de Montagne de Philippe.
Philippe a été baigné dans la culture montagnarde dès son plus jeune âge, grâce à son grand-père qui était facteur de ski, ses parents et son oncle qui skiaient, sa nièce qui fait partie de l’équipe de France de biathlon et, surtout, sa grande expérience du hors-piste. et le ski de piste (il a participé à l’UTMB en 2004 et 2005 et a fait six voyages à la Pierra Menta en hiver).
Sa femme, l’athlète passionnée Béatrice (UTMB, UT4M, Verbier st. Bernard, etc.), offre de précieux conseils pour améliorer vos performances en trail et ultramarathon. Maxime, expert chaussures et équipement, et Angélique, expert textile technique et sportswear, font partie de l’équipe depuis de nombreuses années.
Contrairement à d’autres entreprises, l’équipe Montagne de Philippe ne se soucie pas seulement de vous fournir des produits techniquement supérieurs; ils se soucient également profondément de l’éthique des entreprises qu’ils promeuvent. Il accorde une grande valeur à l’engagement d’une entreprise envers la durabilité environnementale. Tout dans son penchant historique est génial.
Elle a par exemple un faible pour la marque Colmar, qui a été la première à proposer des fuseaux de ski alpin. Patagonia fait don d’un pour cent de son CA à “1% pour la Terre” chaque année.