Lizarazu Taille Poids – Après avoir été pansé dans son Pays basque natal, Lizarazu s’engage chez les Girondins de Bordeaux et fait ses débuts professionnels. Il passe huit ans avec le club, période au cours de laquelle ils remportent des championnats de division deux et atteignent la finale de la Coupe UEFA en 1996. Il a remporté à plusieurs reprises le prix du meilleur arrière gauche du championnat de France tout en portant le maillot sans manches. Après la finale européenne, il signe avec le club basque de l’Athletic Bilbao, mais une blessure limite son temps de jeu et il décide de partir après une seule saison.
Il a signé avec le Bayern Munich pour disputer le championnat d’Allemagne et la Ligue des champions chaque saison. Après avoir balayé la Bundesliga de 1999 à 2001, il a ajouté le titre de C1 à sa collection la saison dernière. Après avoir atteint la finale de la Super Coupe de l’UEFA, il a remporté la Coupe Intercontinentale à la fin de l’année. En 2004, il tente de se réinstaller en France, mais après six mois infructueux avec l’Olympique de Marseille, il revient à Munich.
Il a remporté la Coupe d’Allemagne lors de saisons consécutives au cours des deux dernières années. Au total, il a remporté six titres de Bundesliga, cinq Coupes d’Allemagne et dix Coupes de la Ligue française. Pendant son séjour au Bayern, il a remporté à plusieurs reprises le prix du meilleur arrière gauche de la Bundesliga. Lizarazu a été l’un des meilleurs joueurs à son poste tout au long de sa carrière.
Tous les sports ont une place spéciale dans mon cœur. Je suis un vrai athlète dans l’âme. Certaines personnes ne se lassent pas de jouer avec un ballon ou sont les seules à apprécier leur sport. D’autres ne peuvent pas être poussés au-delà de leur niveau de performance actuel sans la pression externe de la rivalité. Quand je bouge, je ressens un véritable sentiment de joie. Ici dans le Sud-Ouest, mon petit coin de paradis, je profite à la fois de la montagne et de l’océan. J’aime faire du vélo le long des sommets pyrénéens et skier sur des pistes damées.
J’adore faire du surf et de la plongée sous-marine au large de l’Atlantique. De plus, je m’entraîne au “Stand up paddle”, dans lequel on se tient debout sur une planche de surf et utilise une pagaie pour se propulser dans l’eau. Je laisse votre imagination équilibrer et gagner pour vous… J’ai développé un goût prononcé pour le jujitsu brésilien, véritable sport de combat qui sonde les motivations les plus intimes.
J’ai abandonné le football et même la course à pied. Quand je parle, j’ai peur d’abîmer mes cordes vocales ou mes articulations. Avoir autant d’options fait de rester en forme une joie. Je tiens habituellement quatre ou cinq séances par semaine. Si vous sortez les matchs tous les trois jours, ce qui m’a souvent épuisé, je m’entraîne autant que lorsque j’étais footballeur “professionnel”.
Non, je n’ai jamais perdu le goût de l’effort et je prends beaucoup de plaisir à me mettre au défi. Je m’entraîne régulièrement pour les compétitions internationales de jujitsu. Je ne suis pas obsédé par la victoire, mais je refuse aussi qu’on se moque de moi (NDLR : Bixente est champion d’Europe senior après seulement 18 mois d’entraînement ! À son crédit, il n’a fait aucune mention de sa performance stellaire lors de notre entretien.
Lorsque je descends à vélo dans une zone vallonnée et que quelqu’un me double, je vais inévitablement chuter et finir dans le rouge. Quand je joue au foot lors d’un gala, je ne lâche jamais si un renard me taquine. Bon, je l’avoue : c’est assez drôle. Mais je veux lui prouver que je suis toujours le meilleur qui soit. Cependant, ces jours-ci, je ne me permets plus de devenir esclave de l’horloge et je peux arrêter de travailler lorsque je me sens fatigué.
Forme, santé,… De plus, j’ai réussi à rester en ligne. En fait, j’ai pris quelques kilos, environ 2 kilos, la semaine dernière. mais plus de muscle maintenant que je dirige la moitié supérieure de mon corps en jujitsu. Tout cet exercice sert également de source de motivation pour le travail. Le conseil est un métier exigeant, et je suis constamment en déplacement. Sur le moment, je peux donner toute mon attention. De plus, les déplacements constants sont épuisants.
De plus, ces sports de pointe offrent de véritables défis physiques et mentaux. Dans le feu d’une bataille de jujitsu, de véritables réflexes de survie se déploient. Plutôt que d’apprendre la douleur à travers l’ennui d’un match de football professionnel, je l’ai appris en faisant du vélo. Enfin, connaître le sujet commenté est essentiel dans le journalisme sportif ; c’est ce qui renforce notre crédibilité et notre pertinence.
J’ai commencé le ski à trois ans et la plongée sous-marine à dix ans. Ensuite, j’ai continué tout au long de ma vie professionnelle. Bon, c’est vrai que c’était interdit dans mon contrat. Les clubs, semble-t-il, ont fermé les yeux tant que je ne suis pas blessé. Cela ne m’est arrivé qu’une seule fois, une petite entorse, et cela ne m’est pas venu à l’esprit lorsque je jouais pour le Bayern. À long terme, cependant, mes employeurs ont toujours eu le dessus.
A la fin de la tempête, je revenais toujours en pleine forme. J’ai changé de sport et travaillé ma force et mon équilibre sur les pentes balayées par le vent et les vagues déferlantes de la côte basque. Alors que d’autres sont revenus épuisés et démotivés, ces personnes n’avaient fait ni ski ni surf, et elles n’avaient pas non plus suivi le programme d’exercices recommandé par les préparateurs physiques.