Leotard Mort De Quoi – François Léotard, homme politique français, est décédé le 25 avril à l’âge de 81 ans. Le président français Emmanuel Macron en a fait l’annonce sur Twitter. Le dirigeant du pays a rendu hommage à “l’esprit libre, homme de livres et d’engagement” qui l’avait aidé à accéder en 2022 aux fonctions de président de l’UDF et de ministre de la Défense de François Mitterrand.
L’ancien maire de Fréjus, qui a siégé pendant vingt ans, laisse derrière lui quatre enfants, dont un fils prénommé Marc-Antoine. Selon le staff du Monde, François Léotard s’est marié deux fois, dont une fois à une Ysabel bien précise. L’ancien ministre était notoirement privé de tout ce qui n’était pas lié à son travail, ce qui rendait difficile d’en savoir plus sur sa vie personnelle.
L’acteur Philippe Léotard, qui avait 60 ans lorsqu’il est décédé en 2001, était son frère cadet. La relation amoureuse de ce dernier avec Nathalie Baye dans les années 1970 a également fait l’objet de discussions.
Ils étaient ensemble depuis près de dix ans avant que l’actrice ne tombe enceinte de Laura Smet. Le frère de l’homme politique avait auparavant divorcé de sa femme, Liliane Caulier, avec qui il partageait deux enfants.
Un politicien condamné de l’année 2004
Au sein du parti conservateur, François Léotard s’est imposé comme une figure radicale. De 1978 à 2001, il a été député et à partir de 1986, il a travaillé pour l’administration de François Mitterrand. Après cela, le président de la République l’a nommé ministre de la Culture et de la Communication pendant deux ans.
Jusqu’à l’élection de Jacques Chirac en 1995, l’homme politique est responsable de la politique de défense à partir de 1993. Il devient ensuite l’égérie de l’UDF après le départ à la retraite de Valéry Giscard d’Estaing.
Une peine de dix mois de prison avec sursis pour “financement illégal de partis politiques et blanchiment d’argent” en 2004 a effectivement mis fin à sa carrière politique. Puisqu’il s’est ensuite concentré sur l’écriture d’essais et de romans, il ne prend pas sa retraite au sens traditionnel. Au cours de sa vie, François Léotard a publié un total de treize œuvres.
La perte tragique du comédien tourmenté Philippe Léotard
Les bouffissures des yeux tristes de son enfant étaient presque cachées par la chaleur de son sourire. Sa voix, craquelée et détériorée, est devenue instantanément reconnaissable lorsqu’il a décrit ses luttes contre la maladie mentale, la toxicomanie et les pensées suicidaires.
Philippe Léotard, décédé samedi d’une insuffisance respiratoire, s’apprêtait à fêter ses 61 ans. Il avait le potentiel pour être un grand acteur, écrivain et chanteur, mais il était déterminé à gaspiller ses talents. rêve que je dors”.
Philippe Léotard, fils de l’ancien maire de Fréjus, a débuté sa carrière comme professeur de lettres au très fermé collège Sainte-Barbe. Son frère aîné, François Léotard, est homme politique et ministre. Elle poursuit ensuite une carrière théâtrale, co-fondant le Théâtre du Soleil avec Ariane Mnouchkhine en 1964.
Les Petits Bourgeois” de Gorki, “Capitaine Fracasse” de Théophile Gautier et sa propre adaptation du “Songe d’une nuit d’été” sont joués dans le Cirque Médrano. Un parcours incroyable et inoubliable avant sa percée cinématographique dans Domicile conjugal de François Truffaut (1970), suivi de Max et les ferrailleurs de Claude Sautet (1970).
Son apparition précoce, ressemblant à celle d’un boxeur philosophe, l’établit immédiatement comme l’un des acteurs de soutien les plus fiables.
René César en 1982 pour son interprétation en poulet ou en vilain proxénète dans “La Balance” de Bob Swaim, dont la co-vedette à l’époque était Nathalie Baye. Mais il pouvait aussi jouer les rôles les plus nuancés, nous rendant ambivalents à leur égard comme à lui-même.
Récemment, il s’est senti en paix avec lui-même, après se confiant à diverses oeuvres (dont “Haute Lutte”, “Portrait de l’artiste au nez rouge”, “Pas un jour sans ligne”, “Clinique de la Raison fermée”), je crains qu’il ne soit trop tard…
La mort de Philippe Léotard
Il a été PRESSÉ au point d’accepter la mort. Ce 28 août prochain aurait été son 61e anniversaire. Comédien, écrivain, auteur et chanteur, on se souvient de lui avec affection pour son visage de parchemin à “bouche”, son expression circonflexe et son sourire de clown triste; tempérament sacré d’un artiste; et, sans surprise, une capacité incontestable d’autodestruction. “J’étais suicidaire par haine mais je n’étais jamais fatigué de vivre”, a-t-il déclaré en 1990, au plus fort de sa renaissance professionnelle. Philippe Léotard, wné à Nice en 1940, n’est pas étranger aux renaissances.
Long voyage à travers le désert
Par la suite, les films se dispersent au fil des rassemblements et des anniversaires French Connection 2 » de John Frankenheimer (1974), Le bon et la brute de Claude Lelouch (1975), Le juge Fayard, dit le shérif d’Yves Boisset (1975), Judith Therpauve” de Patrice Chéreau (1978), et “Une semaine de vacances” de Bertrand Tavernier (1979). Le César du meilleur acteur qu’il a remporté en 1983 pour “La Balance” de Bob Swaim n’a pas tout à fait suffi à apaiser sa peine.
