Jean Louis Barrault Marie Christine Barrault

Répandez l'amour du partage
Jean Louis Barrault Marie Christine Barrault
Jean Louis Barrault Marie Christine Barrault

Jean Louis Barrault Marie Christine Barrault – Lui et elle ne sont pas ses parents biologiques. Mais les cousins Jean-Louis et Marie-Christine Barrault ressentent aussi un attrait irrésistible pour la scène magnétique du théâtre. A 25 ans, Jean-Louis Barrault rencontre Étienne Decroux, qui lui inculque l’amour du mime. Quelques années après avoir pris sa retraite de la Comédie-Française, il envisage de mettre sa passion au service du chef-d’œuvre de Marcel Carné.

Barrault, le célèbre Debureau et véritable « enfant du paradis », sera plus à l’aise pour s’exprimer sur scène qu’à l’écran. D’abord réalisateur à l’Odéon, sa renommée internationale s’épanouit au Rond-Point. Le mime permet à l’œuvre de Barrault de s’exprimer principalement par des gestes physiques et des gestes.

Avec Madeleine Renaud, l’accouplement aurait été fusionnel dans la vie comme sur les terrains de jeux. Si le couple n’a pas d’enfant, la Marie-Christine de Jean-nièce Louis s’occupera du ménage.

Cet amateur de théâtre doit emmener Simon puis fréquenter le Conservatoire d’art dramatique. L’artiste, sous la houlette de son oncle, se consacrera essentiellement au théâtre jusqu’en 1968. Elle accepte quelques grands rôles à la télévision, mais elle envisage à terme de poursuivre une carrière au cinéma. Marie Curie est le rappel le plus important de la femme qui serait la dernière Madame Vadim.

L’actrice française Marie-Christine Barrault. En 1975, elle remporte l’Oscar de la meilleure actrice pour sa performance dans Cousin, cousine. Elle est la nièce de Jean-Louis Barrault et Madeleine Renaud, dont aucun n’a soutenu ses efforts professionnels.

Elle s’est mariée deux fois, d’abord avec Daniel Toscan du Plantier, avec qui elle a eu un fils et une fille, puis avec Roger Vadim, de 1990 jusqu’à la mort de Vadim en 2000. Elle était aussi ma compagne…

ENTRETIEN

“Je ne serais pas arrivé ici si…” Chaque semaine, “Le Monde” parle à une personne célèbre différente d’un incident déterminant dans leur vie. L’actrice revient sur sa carrière, qu’elle a vécue à la fois comme un plaisir et comme une “nécessité” ces cinquante dernières années.

Elle a travaillé aux côtés d’illustres réalisateurs comme Eric Rohmer, Woody Allen, Manoel de Oliveira, Andrzej Wajda, Volker Schlöndorff et bien d’autres. Il a reçu une nomination à l’Oscar de la meilleure actrice en 1977 pour sa performance dans Cousin, cousine de Jean-Charles Tacchella.

L’amour de Marie-Christine Barrault a toujours été le jeu d’acteur, et les grands auteurs avec lesquels elle a travaillé (Tchekhov, Claudel, Duras, Giraudoux, Yourcenar, etc.) sont des collaborateurs dévoués qu’elle continue de servir dans des représentations scéniques et des lectures dramatiques. Elle jouera Marguerite dans Un mort dans la famille d’Alexander Zeldin au Théâtre de l’Odéon-Ateliers Berthier le 28 janvier. Elle a 77 ans, un regard ardent et une voix chaude.

Je n’y arriverais pas si…

Si je n’avais pas eu une éducation aussi difficile, où la dureté de la vie m’a sauté aux yeux très tôt alors que les émotions n’étaient jamais exprimées à la maison, j’aurais peut-être une vision différente de la vie. Confusions, inquiétudes, désirs, rages… Rien n’a jamais filtré. Personne n’a fait d’observations sur les triomphes ou les tragédies de la vie, et nous n’avons rien dit sur les sentiments et les doutes que nous avions.

Le silence était total à la maison. J’étais enfermé avec les miens, sans aucune idée et sans voix au sujet de ma propre agitation. C’est ce qui m’a donné envie de devenir actrice. Le besoin de me libérer de mes liens et d’exprimer mes pensées et mes sentiments les plus intimes. Mon inclination naturelle a toujours été vers une carrière dans la prise de parole en public.

Comment avez-vous ressenti cette “âpreté de l’existence” ?

Mes parents se sont mystérieusement séparés quand j’étais un jeune enfant; mon frère et moi avons été envoyés vivre chez notre grand-mère, ponctués de brèves visites de nos parents ; plus tard, j’ai été projeté dans une famille « recomposée » où j’ai rencontré deux nouvelles sœurs cadettes et un beau-père inconnu ; mon père est tombé malade et est mort à un moment où il était vulnérable et humilié ; et finalement, je suis resté en deuil de sa perte.

Une expérience extrêmement traumatisante puisque j’ai été trompé de savoir qu’il souffrait dans un hôpital rural. C’est fou quand j’y repense. Ils m’ont juste dit au téléphone que mon père était décédé et que les funérailles auraient lieu jeudi. Personne n’a pensé à me demander si j’étais triste pendant que j’avais froid. Cette première rencontre avec la mort m’a donné une appréciation immédiate de la gravité et de la profondeur de notre situation difficile.

Marie-Christine Barrault, née en 1964, est une actrice française. Au cours de sa carrière d’actrice française et mondiale, elle est apparue dans plus de cinquante films, quarante productions télévisuelles et quarante productions scéniques.

Après avoir suivi les cours du Cours Simon et du Conservatoire d’Art Dramatique au début des années 1960, encouragée par son oncle Jean-Louis Barrault et Maurice Béjart, Marie-Christine Barrault entame une carrière au théâtre. En 1966 et 1967, les deux hommes dirigeront tour à tour le ballet dans Le Quiet et le Mensonge (écrit par Nathalie Sarraute) et La Tentation de saint Antoine et Messe pour l’instant présent (écrit par Maurice Béjart).

Dans le film d’Eric Rohmer de 1969, La nuit chez Maud, elle fait ses débuts au grand écran en tant que paysanne vertueuse. En 1972, elle le voit dans L’Amour l’après-midi, et en 1978, elle le voit dans Perceval le Gallois. En 1975, elle partage la vedette avec Victor Lanoux et Guy Marchand dans le film Cousin, Cousine ; l’année suivante, elle est nominée pour l’Oscar de la meilleure actrice. Daniel Toscan du Plantier, grand producteur et financier français, est finalement devenu son mari et ils ont eu deux enfants, Ariane et David.

Tout au long des années 1980, elle entame une carrière internationale, travaillant avec des réalisateurs comme Woody Allen (Stardust recollections), Andrzej Wajda (Un amour en Allemagne), Manoel de Oliveira (Le Dans les deux décennies qui suivent, elle tourne moins de films mais continue de co-vedette avec Pascal Thomas (La Dilettante, 1999) et Christophe Honoré (Non, ma fille, tu n’iras pas danser, 2010).

Elle, en revanche, est assez productive dans l’atelier, ayant récemment ajouté des œuvres de Tennessee Williams, Marguerite Duras et Françoise Chandernagor à son répertoire. Elle apparaît également fréquemment à la télévision, où son deuxième mari, Roger Vadim, la dirige souvent. 2000. En 2014, elle fait un retour remarqué à la télévision avec des apparitions dans la mini-série Jusqu’au dernier et la série comique Scènes de ménage.

Jean Louis Barrault Marie Christine Barrault

Marie-Christine Barrault débute en 1963 au Cours Simon, où elle étudie pendant un an avant d’être admise au Conservatoire d’Art Dramatique l’année suivante. En 1969, Eric Rohmer la choisit comme petite provinciale catholique aux côtés de Jean-Louis Trintignant dans Me nuit chez Maud, marquant ses débuts au cinéma.

Le film de 1975 Cousin, cousine a été un succès retentissant, en particulier aux États-Unis, et en conséquence, elle a été nominée pour un Oscar de la meilleure actrice. Après la “Femme dans le chien”…

Marie-Christine Barrault est une interprète polyvalente depuis près de quatre décennies. Elle a été dans tout, des comédies aux drames, et elle a travaillé au théâtre, au cinéma et à la télévision. Ses études en littérature ne la sauveront pas de son destin artistique, car elle est issue d’une famille de créateurs confirmés.

Elle commence à suivre les cours de Simon en 1963 et entre dans une école de théâtre l’année suivante. Tournant d’abord au théâtre où elle fait ses débuts, notamment sous la direction de Maurice Béjart pour “La Tentation de saint Antoine”, le public lui est présenté par le cinéma en 1969 avec “Le Locataire”.

Une soirée avec Maud’ de Rohmer. Ils constituent le célèbre couple platonique avec Jean-Louis Trintignant. Elle enchaîne avec un autre succès, cette fois dans le genre comique avec “Le Distrait” des années 1970, avec un Pierre Richard insipide. Après avoir passé quelque temps au théâtre dans des œuvres plus traditionnelles, elle revient au septième art en 1975, jouant dans des films marquants des années 1970 comme Cousin Cousins, Perceval le Gallois et Entre chiens et loups.

La télévision lui offre également d’excellents rôles, comme le rôle-titre dans “Marie Curie” en 1989, pour lequel elle est un choix naturel en tant qu’actrice. Marie-Christine Barrault rencontre son véritable amour, Roger Vadim, lorsqu’elle est adulte. Ils seront inséparables pendant une décennie avant que Vadim ne succombe à sa maladie. Désormais seule, Marie-Christine Barrault continue, tourne avec la même ténacité et la même espérance qui ne cessent de surprendre.

Marie Christine Barrault a travaillé avec les plus grands noms du cinéma, d’Éric Rohmer à Woody Allen. Elle a été nominée pour l’Oscar de la meilleure actrice en 1976 pour sa performance dans “Cousin, Cousine” de Jean-Charles Tacchella, et n’était qu’à quelques voix de remporter le prix.

Mais elle ne sera pas là pour parler d’elle lors de la visite de l’actrice à la Ferme Pereire à Ozoir-la-Ferrière ce vendredi soir. Elle espère réintroduire son oncle Jean-Louis Barrault auprès des lecteurs à travers une lecture de leur correspondance. Marie Christine Barrault déplore : « La majorité des gens ont un peu oublié qui il était. Ils connaissent son nom mais pas son travail.

Néanmoins, Jean-Louis Barrault était une figure théâtrale formidable. Après avoir débuté sa carrière d’acteur et de mime pendant la Seconde Guerre mondiale, il devient directeur du théâtre de l’Odéon à Paris et écrit de nombreuses pièces.

L’auteur Pierre Tré-Hardy a compilé des écrits de Jean-Louis Barrault pour célébrer le centenaire de sa naissance en 2010. Jeudi à Ozoir-la-Ferrière, sa nièce lira de nombreux extraits en son honneur et diffusera “sa vision du théâtre”.

L’actrice, cependant, n’hésitera pas à parler de sa propre carrière après la lecture. Car Marie Christine Barrault, à 70 ans, est toujours très active. Parmi ses récentes apparitions au cinéma, “la Vie domestique” (Isabelle Czajka) avec Emmanuelle Devos et “le Grand Méchant Loup” (Nicolas Charlet et Bruno Lavaine) avec Benoît Poelvoorde. Elle “adore rencontrer le public et discuter avec lui”, alors n’hésitez pas à lui demander n’importe quoi. Entrez gratuitement. Jeudi soir de 19h30 à 22h30 Ferme Pereire, à Ozoir; adresse : avenue Erasme.

Jean Louis Barrault Marie Christine Barrault
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