Il tué Ses Parents Et Beaux Parents – Suite à son aveu de culpabilité, le gendre d’un couple abattu en juillet dans son domaine varois a été placé en garde à vue et est actuellement détenu sans caution.
Cependant, la cause est encore ambiguë, allant de la jalousie aux difficultés financières. Un traiteur arrivé pour un après-midi de mariage à la résidence du couple à Tourves, près de la Sainte-Baume, a trouvé les deux hommes âgés morts le 3 juillet.
Ils avaient loué la propriété pour des mariages. Ce prévenu, 36 ans, a fait des aveux “dans le détail, avec des détails qu’on ne peut imaginer”, selon le procureur de la République de Draguignan, Patrice Camberou, après quatre mois d’enquête de gendarmerie : Néanmoins, le magistrat a noté, “La cause reste à définir , on oscille entre l’envie et un problème financier”.
Après les premières découvertes sur les lieux, la piste du féminicide et du suicide s’est rapidement dégagée. La chambre de la victime avait été fouillée et un minuscule coffre-fort avait été ouvert, ainsi la possibilité d’un cambriolage qui aurait mal tourné ne pouvait être exclue.
“Tous les invités qui devaient assister à la célébration du mariage” prévue au domaine le jour des faits avaient déjà “pu être entendus”, ainsi que “les proches du défunt”, avait alors “souligné le parquet de Draguignan, ” 48 heures après la découverte de la catastrophe.
Un juge d’instruction a inculpé mercredi le gendre et l’a placé en détention provisoire, rapporte le New York Daily News. Lundi, lui et sa compagne, la fille de la victime, ont également été placés en garde à vue.
Cela a été exclu. D’importants moyens de gendarmerie ont été consacrés à l’enquête. Une équipe d’enquêteurs du bureau d’études de Fréjus, du groupement du Var, et d’anciens réservistes ont mené les investigations, comme l’a révélé le parquet de Draguignan.
Ils ont utilisé “des moyens très importants pour approfondir les différentes pistes possibles, notamment des travaux de modélisation de scène de crime”, et ils ont reçu “l’assistance d’unités spécialisées dans la surveillance et d’enquêteurs du département des sciences du comportement de l’IRCGN”, l’institut de recherche criminelle de la gendarmerie nationale, a encore précisé le parquet contre Draguignan.
Un type des Pyrénées-Orientales a affirmé avoir tué dimanche ses parents et ex-beaux-parents. Le parquet de Perpignan a indiqué mardi qu’un homme de 50 ans qui s’est livré dimanche aux gendarmes et a revendiqué la mort de ses parents et ex-beaux-parents a affirmé avoir agi délibérément.
Le procureur Luc-André Lenormand a indiqué qu’après sa garde à vue de longue durée, l’individu “sera présenté à un juge d’instruction conformément à la réquisition du parquet” pour son inculpation pour assassinat, selon un communiqué.
Un magistrat anonyme a rapporté que l’assassin putatif a reconnu avoir « tué volontairement les quatre personnes âgées, avec préméditation » samedi et dimanche, mais il n’a fourni aucune autre information sur la façon dont elles ont été tuées.
Pour décrire ses ex-beaux-parents, qu’il n’avait pas revus depuis environ 10 ans, il les a qualifiés d'”individus démoniaques et manipulateurs” car il était le seul enfant de ses parents. La haine l’a poussé à les tuer les 22 et 23 août 2020″.
A son arrivée à la gendarmerie de Pollestres, dans les Pyrénées-Orientales, le type a affirmé avoir tué ses parents à Perpignan et ses ex-beaux-parents près du Boulou. Les corps de ces personnes décédées ont été retrouvés par les policiers qui avaient été convoqués sur les lieux.
Selon un procureur, l’individu a été “immédiatement placé en garde à vue et transporté à l’hôpital de Perpignan pour y être soigné suite à une suspicion d’ingestion massive de drogue”.
L’enquête a été suivie par l’antenne du SRPJ de Montpellier à Perpignan. Ce week-end, un type à Perpignan (Pyrénées-Orientales) a abattu ses parents, puis tué ses ex-beaux-parents avant de se rendre à la gendarmerie.
Suzanne, 84 ans, dont la maison se trouve à quelques centaines de mètres de la saumonerie de la famille Cahuzac dans le paisible lotissement du Mas Pradal derrière le quartier Saint-Assiscle de Perpignan (Pyrénées-Orientales), dit avoir cru qu’elle allait s’effondrer en le jardin quand sa voisine lui a annoncé la nouvelle lundi matin.
Alain Cahuzac, 76 ans, ancien salarié d’EDF, et son épouse Claudie Cahuzac, 74 ans, comptable à la retraite, ont été assassinés entre samedi soir et dimanche matin dans cet élégant petit pavillon.
Une propriété bien entretenue avec un petit jardin à l’avant et un jardin bien rangé à l’arrière qui débordait de fleurs. Tout le monde dans la région avait de bonnes relations avec les deux retraités.
