Décès De Marcel Amont – Mercredi, la famille a annoncé que Marcel Amont, surtout connu pour la vidéo virale “Bleu, blanc, blond”, était décédé. Il est décédé à son domicile de la banlieue parisienne de Saint-Cloud.Le chanteur Marcel Amont, légende du music-hall connu pour des tubes comme “Bleu, blanc, blond”, est décédé le 8 mars à l’âge de 93 ans, a annoncé sa famille dans un communiqué à l’AFP. Selon la même source, l’artiste affable et fantasque est décédé à son domicile de Saint-Cloud (ouest parisien) après une carrière de 75 ans.
De son vrai nom Marcel Miramon, il est né le 1er avril 1929 à Bordeaux. En 1950, il “monte” à Paris et commence à s’y faire un nom dans le milieu du cabaret. En 1956, il fait sa première apparition en Edith Piaf aux Jeux Olympiques et son premier album remporte le Grand prix de l’Académie de Charles-Cros.
Une émission de télévision et une comédie musicale
Malgré le yé-yé distrayant, le chanteur (qui se disait “divertisseur”) reste fidèle à son propre style, interprétant des chansons comme “Maria and the Pot of Milk” (1965). Il se sent mal d’être “l’un des rares rescapés” parmi les auteurs de fantasy.
Sa carrière a culminé au début des années 1970, lorsqu’il a remporté un disque d’or pour “L’amour ça passe le temps” en 1971, a triomphé aux Jeux olympiques et a animé l’émission télévisée “Amont-Tour” aux côtés d’ensembles choraux et de danseurs.
Ce n’est qu’en 1989 qu’il revient sur la scène littéraire après une période de disgrâce. Il a également été inclus dans un certain nombre d’émissions de télévision. Ces dernières années, il a fêté ses 90 ans sur scène à Paris en 2019 lors d’un concert à l’Alhambra, parmi des artistes comme Serge Lama et Nicoletta.
Malheureusement, la légende du music-hall et crooner Marcel Amont est décédé jeudi à l’âge de 93 ans. Selon un communiqué publié par sa famille, l’artiste adoré et fantastique est décédé à son domicile de Saint-Cloud, à l’ouest de Paris. Sa carrière a duré 75 ans. Le début des années 1970 est le point culminant de sa carrière.
Selon un communiqué communiqué à l’AFP par la famille du chanteur, Marcel Amont, vedette de music-hall connue pour plusieurs tubes comme “Bleu, blanc, blond”, est décédé mercredi à l’âge de 93 ans. Selon la même source, l’interprète chaleureux et fantasque, qui a eu 75 ans de carrière, est décédé à son domicile de Saint-Cloud, à l’ouest de Paris.
De son vrai nom Marcel Miramon, il est né le 1er avril 1929 à Bordeaux. En 1950, il “monte” à Paris et commence à s’y faire un nom dans le milieu du cabaret. En 1956, il fait sa première apparition en Edith Piaf aux Jeux Olympiques et son premier album remporte le Grand prix de l’Académie de Charles-Cros.
Malgré le yé-yé distrayant, le chanteur (qui se disait “divertisseur”) reste fidèle à son propre style, interprétant des chansons comme “Maria and the Pot of Milk” (1965). Il se sent mal d’être “l’un des rares rescapés” parmi les auteurs de fantasy.
Sa carrière culmine au début des années 1970, lorsqu’il sort un album d’or (“L’amour ça passe le temps”), remporte l’or aux Jeux olympiques et anime une émission télévisée intitulée “Amont-Tour”, dans laquelle il collabore avec chanteurs et danseurs. (1975), où il déclare que “la critique a été bonne mais personne n’est venue”.
Ce n’est qu’en 1989 qu’il revient sur la scène littéraire après une période de disgrâce. Il a également été inclus dans un certain nombre d’émissions de télévision. Ces dernières années, il a fêté ses 90 ans sur scène à Paris en 2019 lors d’un concert à l’Alhambra, parmi des artistes comme Serge Lama et Nicoletta.
Le chanteur Marcel Amont, légende du music-hall connu pour des tubes comme “Bleu, blanc, blond”, est décédé mercredi à l’âge de 93 ans, a annoncé sa famille dans un communiqué.Après 75 ans de métier, l’affable et fantasque interprète s’est éteint chez lui à Saint-Cloud (ouest de Paris).
Le vrai nom de l’homme né le 1er avril 1929 à Bordeaux est Marcel Miramon. Il “monte” à Paris en 1950 et commence à s’y faire un nom dans les cabarets. En 1956, il fait sa première apparition en Edith Piaf aux Jeux Olympiques et son premier album remporte le Grand prix de l’Académie de Charles-Cros.
Malgré le yé-yé distrayant, le chanteur (qui se disait “divertisseur”) reste fidèle à son propre style, interprétant des chansons comme “Maria and the Pot of Milk” (1965). Il se sent mal d’être “l’un des rares rescapés” parmi les auteurs de fantasy. Le début des années 1970 marque l’apogée de sa carrière, avec la sortie d’un disque d’or (“L’amour ça passe le temps”), une performance triomphale à l’Olympia et une émission télévisée, “Amont-Tour”, en auquel il collabore avec des chanteurs et des danseurs.
(1975), où il déclare que “la critique a été bien mais personne n’est venue”.Le directeur des programmes de Melody, Jean-Pierre Pasqualini, a rapporté que le chanteur, qui avait une carrière de 75 ans, est décédé le 8 mars alors qu’il était entouré de sa famille à leur domicile de Saint-Cloud. Le natif de Bordeaux recevra de multiples hommages ces prochains jours, à commencer par sa région natale.
Le vendredi 10 mars à 9h10, le samedi 11 mars à 17h50 et le dimanche 12 mars à 15h15, France 3 Nouvelle-Aquitaine secouera ses grilles en hommage au regretté interprète mexicain. Cet épisode spécial d’En route vers les estives est rediffusé sur la station locale de la bande. Ce dernier a une valeur sentimentale supplémentaire pour les proches de l’artiste car il a été tourné au cœur de la vallée d’Aspe, là où sont nés et ont grandi les parents de Marcel Amont.
