Claude Brasseur Jeune

Répandez l'amour du partage
Claude Brasseur Jeune
Claude Brasseur Jeune

Claude Brasseur Jeune – Le prénom de l’acteur français Claude Brasseur est Claude Espinasse. Il est né le 15 juin 1936 des acteurs Pierre Brasseur et Odette Joyeux, et il décèdera le 22 décembre 2020. Il avait alors 84 ans.

Claude Brasseur jeune : ses débuts et le rôle de Vidocq

Claude Brasseur fait ses débuts au théâtre dans « Judas » de Marcel Pagnol en 1955. L’année suivante, il fait ses débuts au cinéma dans « Rencontre à Paris » de Georges Lampin. Après cela, il commence à travailler avec de grands réalisateurs comme Jean Renoir et Marcel Carné.

Il joue d’abord Rouletabille dans “Le mystère de la chambre jaune” de Jean Kerchbron à la télévision, puis il incarne Sganarelle dans “Dom Juan ou le Festin de pierre” de Marcel Bluwal. Brasseur est également connu pour son rôle de François Vidocq dans la série de deux saisons “Les Nouvelles aventures de Vidocq”, diffusée de 1971 à 1973.

1976 Claude Brasseur

Le film de Georges Lautner de 1974 “Les Seins de glace” marque le début de la percée cinématographique de Claude Brasseur. Mais en 1976, “Un éléphant ça trompe énormément” d’Yves Robert, jouant le rôle d’un homme homosexuel, il finit par se faire accepter. Après le succès du film, une suite intitulée “Nous irons tous au paradis” est réalisée en 1977, dans laquelle il apparaît à nouveau.

Sa carrière s’étend sur un large éventail de films, du tube “La guerre des polices” de Robin Davis en 1979 à “La boum” de Claude Pinoteau en 1980 et de la suite “Les acteurs” de Bertrand Blier en 2000 à la comédie “Chouchou” de Merzak Allouache en 2003 en passant par Fabien La série “Camping” d’Onteniente en 2006 et ses suites. Claude Brasseur a également persisté à teindre les planchers.

Son répertoire comprend des œuvres telles que « Tartuffe ou l’Imposteur » de Molière, « Le Souper » de Jean-Claude Brisville, « A Torts and Reasons » de Ronald Harwood (pour lequel il remporte le Molière du meilleur comédien en 2000), et “La Colère du Tigre” de Philippe Madral (pour lequel il a remporté le Molière du meilleur acteur dans une représentation théâtrale privée en 2015).Brasseur a remporté deux Césars : le César du meilleur acteur pour “La Guerre des Polices” et le César du meilleur acteur dans un second rôle pour “Un éléphant.

Le succès de films comme “La boum” et “Camping”

Parmi les nombreux génériques de Claude Brasseur figurent les films acclamés par la critique “La Boum” (réalisé par Claude Pinoteau) et “Camping” (réalisé par Fabien Onteniente). Dans le premier, il incarne le père dentaire de Vic (Sophie Marceau), très occupé et qui a une maîtresse (Dominique Lavanant). Avec Mylène Demongeot dans le second, il incarne Jacky Pic, un retraité de Melun qui fait du camping depuis 30 ans et qui utilise toujours le Site 17.

Jacques Villeret devait jouer le rôle principal, mais il est décédé avant le début du tournage. Donc, le film parle évidemment de lui. Brasseur dit de son personnage qu’il n’a eu aucun mal à comprendre ce qu’était un “beauf” à jouer. Le film “La boum” de 1980 a rapporté 4 378 430 $ au box-office, tandis que le film “Camping” de 2006 a rapporté 5 490 00382 $.

Une famille créative

Claude Brasseur est issu d’une longue lignée d’acteurs. En effet, son père, Pierre Brasseur, était un acteur connu pour ses rôles dans des films comme “Le quai des brumes” de Marcel Carné et “Les enfants du paradis” de Marcel Carné et l’actrice Odette Joyeux.

Pour la 32e cérémonie annuelle des César, Brasseur présidera en tant que président. Le 25 mars 2004, il est nommé chevalier de l’Ordre du Mérite français et le 13 mai 2016, il est promu au grade d’officier.

Puis, le 18 novembre 2008, il est fait chevalier de la Légion d’honneur, et le 30 décembre 2016, il est promu au grade d’officier titulaire. Le 27 mars 1961, Claude Brasseur épouse la mannequin et journaliste Peggy Roche. Puis il épouse l’actrice Michèle Cambon, et le couple a eu un fils nommé Alexandre Brasseur, qui a poursuivi sa propre carrière d’acteur.

Sport et Claude Brasseur

Claude Brasseur est un athlète dans deux domaines différents : le bobsleigh, pour lequel il a été choisi pour représenter la France aux Jeux olympiques d’hiver de 1964 à Innsbruck, mais l’équipe a été contrainte de déclarer forfait après un grave accident, et la course automobile.

Avec son copilote Jacky Ickx, il a également remporté le Rallye Paris-Dakar 1983. Membre du Star Racing Team, il participe régulièrement aux épreuves du Simca Racing Team au volant d’une Simca 1000 Rallye.

Claude Brasseur, 84 ans, est décédé.Le 22 décembre 2020, à l’âge de 84 ans, Claude Brasseur s’est éteint à Paris. La nouvelle a été transmise au public par son représentant, qui a souligné qu’il était mort “dans la paix et la sérénité”, entouré de ses proches, et que sa mort n’avait aucun lien avec le coronavirus. Des amis avaient déjà évoqué dans les colonnes du magazine Gala le 31 décembre dernier que l’acteur était atteint d’un AVC.

Claude Brasseur Jeune

Avant cela, il travaillait régulièrement comme acteur de soutien depuis 1956, apparaissant dans des films aux côtés de sommités telles que Georges FRANJU (dans “Les Yeux sans visage” en 1959),, et Jean RENOIR (dans “Le Caporal épinglé” en 1961), avec qui il partage quelques scènes mémorables.

En fait, il ne se fait connaître qu’avec Les Seins de glace (1974) de Georges LAUTNER. Mais il rencontre enfin le succès avec son rôle dans le film Un éléphant, ça trompe énormément d’Yves ROBERT en 1976. L’année suivante, une suite, Nous irons tous au paradis (1977), part en tournée.

Il remporte un César en 1980 pour son interprétation dans La Guerre des polices (1979). Il est également apparu dans des films comme Camping (2006) et Le Héros de la familia (2006), ainsi que des classiques comme La Boum (1980) et sa suite de Claude PINOTEAU et Les Loups entre eux (1985) de José GIOVANNI.

Cet humoriste, qui a toujours tout donné, attend “le” film qui lui vaudra enfin le respect des cinéphiles. L’acteur français Claude Brasseur (né Claude Espinasse le 15 juin 1936 à Neuilly-sur-Seine) est connu sous son nom de scène Claude Brasseur. Il est le rejeton de Pierre Brasseur et Odette Joyeux, deux acteurs bien connus. Après quelques temps au Conservatoire, il décide de suivre les traces de ses parents et de devenir acteur.

Il fait ses débuts d’acteur dans la pièce Judas de Marcel Pagnol en 1953. Trois ans plus tard, dans Rencontre à Paris de Georges Lampin, il fait ses débuts au cinéma. Après trois ans de service, il revient “en force”, donnant la réplique à Jean Gabin dans “Rue des prairies” puis à son père dans “Les yeux sans visage”.

Dans les années 60, il travaillera avec de grands réalisateurs comme Jean-Luc Godard sur Bande à part (1964) et Costa-Gavras sur Un homme de trop (1967), donc le rythme sera vraiment élevé. Cependant, il se fera connaître du grand public grâce à son rôle de Vidocq dans la série télévisée Nouvelles Aventures.

En 1976, il tient un second rôle dans la comédie culte d’Yves Robert On ira tous au paradis, pour laquelle il obtient le César du meilleur second rôle. Dans le film La Boum de 1980, il incarne le père de Sophie Marceau, rôle pour lequel il s’est fait connaître. Claude Brasseur a joué dans plus d’une centaine de films, jouant à la fois des rôles dramatiques et comiques. La course automobile est sa passion, et en 1983 il remporte le Paris-Dakar.

Il est tellement dévoué au sport automobile qu’il a participé six fois au Paris-Dakar, remportant la course aux côtés de Jacky Ickx en 1983.Il remporte deux Césars pour sa brillante carrière d’acteur : le César du meilleur acteur pour sa prestation dans La Guerre des polices et le César du meilleur acteur pour.

Il remporte deux Césars pour sa brillante carrière d’acteur : le César du meilleur acteur pour sa prestation dans La Guerre des polices et le César du meilleur acteur pour ,Le 22 décembre 2020, à l’âge de 84 ans, il décède.Il est le père d’Alexandre Brasseur, dont la mère est Michèle Cambon, qu’il a épousée en 1970. Sa première épouse s’appelait Peggy Roche.Claude Brasseur est né le 15 juin 1936 à Neuilly-sur-Seine, France, sous le nom de Claude Espinasse.

Ses parents, Pierre Brasseur et Odette Joyeux, sont également acteurs. Et il compte le grand auteur américain Ernest Hemingway comme mentor. Son fils, l’acteur Alexandre Brasseur, suit les traces de son père.

Il prend des cours de comédie au conservatoire et commence à jouer professionnellement en 1954, dans des productions telles que Judas de Marcel Pagnol et Bon appétit messieurs d’Elvire Popesco. En 1956, il fait ses débuts au cinéma dans Rencontre à Paris, réalisé par Georges Lampin, suivi de Le Pays d’où je viens de (1957).

Claude Brasseur Jeune
Claude Brasseur Jeune

Leave a Comment

Ads Blocker Image Powered by Code Help Pro

Bloqueur de publicités détecté !!!

Nous avons détecté que vous utilisez des extensions pour bloquer les publicités. Veuillez nous soutenir en désactivant ces bloqueurs de publicités.

error: Le contenu est protégé !!