Asma Mhalla Biographie

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Asma Mhalla Biographie – Pour commencer, bonjour ! Aujourd’hui je vais tout vous raconter sur la vie d’Asma mhalla. La page entière est consacrée à discuter de son âge, de son attrait, de sa famille, de son lieu de naissance, de ses enfants, de sa profession et d’autres faits saillants. Veuillez continuer à lire ce message, et si vous remarquez quelque chose qui manque, faites-le nous savoir et nous ferons de notre mieux pour l’ajouter dès que possible.

Asma MHALLA est maître de conférences en économie politique et plateformes numériques à Sciences Po Paris, où elle évoque les enjeux politiques et démocratiques posés par l’économie des plateformes. Par ailleurs, elle participe au Comité Scientifique de l’Observatoire de l’Ethique Publique (OEP)

Je serai là en un tournemain. Je m’appelle Asma Mhalla, et je suis maître de conférences à Sciences Po sur les enjeux de l’économie numérique et consultante sur ces sujets et sujets connexes pour ma propre entreprise.

Ce matin, on m’a demandé de partager mes réflexions sur ce qui m’anime depuis quelque temps : l’évolution de la société juste dans laquelle nous vivons et croyons exister. Dans quelle sorte de cadre parlons-nous ici? Y a-t-il un changement en cours ? C’est un mauvais virage ou quoi.

Ce que je vois venir de l’économie numérique, ou plutôt de la coopération entre les mégaplateformes et l’État, inaugure en fait une nouvelle ère de gouvernance mondiale, et si vous me demandez quel est le lien, c’est ceci : c’est pourquoi ils m’ont demandé de sortir ce matin et m’exposer.

Plutôt que de discuter de sujets numériques du tout dans la première moitié de mon “exposé” entre les feuilles, je fournirai plutôt une perspective juridique. C’est une idée difficile à saisir parce qu’on ne sait pas ce qu’elle implique ou ce qu’elle signifie concrètement.

La première chose est que “surveillance” n’est pas un “grand mot” ; il s’agit plus d’une clarification conceptuelle, et là je remets ma casquette de professeur. C’est-à-dire que lorsque nous entendons le mot “surveillance”, nos esprits sautent automatiquement vers des interprétations complotistes ou même extrêmes des données.

droit en premier lieu. Une question : comment se passe-t-il. Juste en prenant en charge, pour ainsi dire. le maintien de l’ordre équivaut à la vigilance. L’idée d’une surveillance constante peut même sembler positive au premier abord.

Rétrospectivement, les travaux de Michel Foucault montrent que la surveillance a été utilisée pour lutter contre les épidémies, collecter des données scientifiques et améliorer l’urbanisme. Cela donne à penser que le terme “surveillance” n’a pas nécessairement une connotation intrinsèquement négative.

La question qui se pose aujourd’hui est de savoir si l’une des trois moitiés, ou perspectives, de ce triptyque est actuellement décalée. C’est quelque chose dont on peut parler pendant des heures.

Mon intuition est que les avocats français sont au-dessus de la moyenne ; en fait, j’irais jusqu’à dire que le pays souffre d’une forme de logorrhée qui amène ses citoyens à rédiger par réflexe de nouvelles lois en réponse à toutes les circonstances imaginables, même les anecdotes.

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trois millions de mots ? Il y a donc un réflexe évident de légiférer en France, qui trouve son origine dans la tendance à la centralisation de l’État, ses dirigeants prenant les décisions politiques d’en haut. La loi est donc le premier ordre du jour.

Je ne pense pas que nous soyons vraiment en chute libre; je pense plutôt que nous sommes dans un état réflexif, dont le sens pourrait être clarifié à la lumière du contexte de notre situation actuelle. C’est-à-dire que, comme nous traversons actuellement une période de profonde transformation historique, il est nécessaire soit de modifier les lois existantes, soit d’en promulguer de nouvelles afin de s’adapter.

Concernant le côté « contrôle » de mon triptyque, un sujet possible est de savoir si oui ou non l’État a usurpé la fonction de gouvernement afin d’assurer sa propre survie (c’est-à-dire « pour le mettre au service de son propre intérêt », comme le notes du conférencier) ou si l’intention initiale du suivi de la population demeure ou non la même.

Nous pouvons avoir un débat raisonnable sur les deux autres arguments, mais je ne pense pas que ce soient les questions fondamentales qui se posent. En réalité, la question du bien-être est cruciale. C’est-à-dire que le contrôle et la surveillance sont désormais entre les mains des observateurs, ou dans ce cas, l’État d’une part et les méta-plateformes de l’autre ; les méta-plateformes, pour parler très brièvement, ce sont les GAFAM.

Alors, les GAFAM, tout le monde sait ce que c’est, non ? Ainsi, Microsoft, Apple, Google, Facebook et Amazon. Je vais discuter de la façon dont ces deux gardiens ont déjà résolu le problème de la surveillance. Le suivi du bien-être est essentiel car il oblige à se demander si l’État s’emploie encore ou non à faire respecter un système de droit qui privilégie le bien commun et l’intérêt public (deux idées dont on entend de plus en plus parler aujourd’hui ; voir aussi : est-il vrai que les entreprises agissent collectivement dans l’intérêt public ?). Si tel est le cas, alors nous devons nous demander si oui ou non nous, en tant que société, le faisons réellement.

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