Alain Lamare Décès – La frénésie criminelle de celui qui est derrière tout cela continue. D’autres victimes ont également été les destinataires de lettres anonymes et d’agressions. Une de ses victimes est restée paralysée à vie et une autre a succombé à ses blessures.
Les autorités passeront des mois à enquêter sur l’affaire avant de conclure que le gendarme Alain Lamare est responsable des atrocités. Notre entreprise possède une vaste expérience dans l’industrie funéraire et propose une large gamme de services pour répondre aux besoins de chaque famille.
Groupe de personnes obsédées
Toutes les responsabilités associées à la coordination des funérailles et des services commémoratifs sont assumées par Pompes Funèbres et la Marbrerie Lamarre. Cela se fait en organisant un service funéraire, civil ou religieux (chrétien, juif, etc.), et en se coordonnant avec les autorités locales pour effectuer la crémation ou l’inhumation proprement dite.
Assistance au travail du marbre
Pompes Funèbres et Marbrerie Lamarre offre une grande variété de monuments funéraires dont certains conviennent aux crémations et d’autres aux inhumations. Vous pouvez personnaliser les mémoriaux à votre guise en choisissant la forme du monument, le granit et les gravures.
Procédures administratives
Toutes vos responsabilités administratives peuvent être prises en charge par l’agence Pompes Funèbres et Marbrerie Lamarre moyennant des frais. Notre entreprise s’occupera des tâches fastidieuses, telles que le dépôt d’un certificat de décès auprès du gouvernement local et l’annulation des abonnements et autres contrats, afin que vous puissiez vous concentrer sur ce qui compte vraiment.Notre entreprise fournit également des services dans les domaines de la rédaction et de la distribution de nécrologies.
Prospective observationnelle
L’entreprise de planification de maisons funéraires Pompes Funèbres et Marbrerie Lamarre propose plusieurs contrats de préplanification funéraire. Celles-ci permettent à l’assuré de régler chaque mois ses futurs frais d’inhumation. Cette option lui permet d’alléger la pression financière sur ses proches. De plus, cela permet de s’assurer que ses dernières volontés sont exécutées comme prévu.
Ornementation du cimetière
Vous êtes invités à mettre tous les arrangements floraux que vous aimez sur les tombes.Vous pouvez également choisir vos propres plaques et décorations. Un plan de prépaiement funéraire peut vous aider, vous et vos proches, à planifier à l’avance en répartissant le coût sur une série de versements mensuels. De plus, certains compléments d’assurance maladie incluent un avenant de frais funéraires. Une aide à la retraite ou à la sécurité sociale est disponible, en fonction des conditions d’éligibilité.
Appareils obséquieux
Nous vous recommandons d’effectuer plusieurs comparaisons de prix pour trouver la meilleure offre. Les Pompes Funèbres et la Marbrerie Lamarre de Soissons proposent des devis de volonté et d’organisation de funérailles.
La Maison funéraire et monument Lamarre a déménagé dans la région.Notre bureau est situé au 56 Avenue de Compiègne, Soissons, France 02200. Vous pouvez également nous consulter par téléphone si cela vous convient mieux.
Vous pouvez nous joindre du lundi au samedi pour des conseils de qualité.Le roman Un assassin au-dessus de tout soupçon de Cédric Anger est adapté de l’histoire vraie d’Alain Lamare, ancien gendarme français plus connu sous le nom de “tueur de l’Oise”.
Les origines de l’affaire Alain Lamare dans le film
La controverse d’Alain Lamare en France dans les années 1970 a été mémorable pour sa nature choquante et l’implication d’un membre de la communauté des forces de l’ordre. Le gendarme professionnel Alain Lamare est plus connu sous le nom de “tueur de l’Oise” pour ses crimes sanglants commis dans l’Oise.
Entre 1978 et 1979, Lamare a terrorisé la région en commettant une série d’actes violents, d’actes d’agression et de meurtres brutaux. La plupart des personnes qu’il a choisies au hasard étaient de jeunes femmes, généralement des étudiantes. Lamare utiliserait son uniforme de gendarme pour gagner la confiance de ses victimes avant de les attaquer violemment.
La panique provoquée par les actions d’Alain Lamare s’est répandue dans la communauté, et tout le monde vivait dans la peur continuelle d’être le prochain. Les autorités ont investi des ressources importantes pour tenter de l’appréhender, mais il continue d’échapper à l’arrestation, ajoutant de l’huile à l’anxiété croissante de la région.
Mais en 1984, la police en avait découvert suffisamment pour justifier l’arrestation d’Alain Lamare. Les preuves contre lui sont accablantes, notamment des empreintes numériques et des déclarations de témoins. Au cours de son procès, Lamare a été reconnu coupable des accusations portées contre lui et condamné à la prison à vie.
Depuis, Alain Lamare a passé du temps dans plusieurs établissements de santé mentale. En 2011, il est transféré dans un service sécurisé pour personnes souffrant de troubles psychiques graves dans un établissement public de santé mentale du Pas-de-Calais. Il reçoit des soins adaptés à son état de santé mentale, mais les informations sur son suivi médical et son état actuel restent confidentielles.
Alain Lamare, ancien et actuel chef de gare de Gérardmer, est né le 22 septembre 1945, dans la commune de Corbenay (70). Après avoir fréquenté le lycée d’élite de Belfort, il jette son dévolu sur les concours d’entrée à la SNCF. Il rencontre sa future épouse, Nina Chatzonek, à Mont-Bonvillers (54), et ils se marient le 30 décembre 1967. Dans la perle des Vosges, elle était réputée pour son rôle de conseillère pédagogique principale de la Griselle.
Ils eurent deux filles : Katia, qui épousa Oblet et s’installa en Alsace, et Sonia, qui s’installa à Paris. En 1977, après un séjour en Meurthe et Moselle, la famille décide de faire de Gérardmer sa résidence permanente. Alain Lamare, qui a gravi les échelons jusqu’au poste de chef de terminal, prendra sa retraite en 2004.
C’était un homme sociable, plein d’humour et intéressant à tous points de vue.Particulièrement impliqué dans la vie associative locale, il a été pendant de nombreuses années président de la Société des Fêtes et a également été trésorier de l’Office de Tourisme et membre de nombreuses corporations culinaires.
À l’âge de 71 ans, il s’éteint paisiblement à son domicile de la Place des Déportés. Alain Lemare a décidé de faire don de son corps à la science comme l’ont fait ses parents. Au moment même où les citoyens de l’Oise se croyaient à l’abri d’un tueur en série – Marcel Barbeault, surnommé “le tueur de l’ombre” et condamné en décembre 1976 – un autre tueur est libre et se cache dans l’ombre. Alain Lamare, gendarme de 22 ans, commet plusieurs crimes en 1978 et 1979.
En mai 1978, des policiers découvrent une voiture abandonnée dans la forêt de Chantilly. La voiture a un pare-brise cassé et de nombreux indices à l’intérieur, dont un mouchoir taché de sang, une poignée de pièces de monnaie et un plan pour un vol de courrier. Alors que la police ignore encore ce qui se passe, l’homme laisse déjà des indices qui les conduiront sur une fausse route.
Alain Lamare traque la voiture volée qui explose, blessant un casque bleu, dix jours plus tard. Le mois suivant, il envoie une lettre anonyme à ses collègues en disant : « la prochaine fois je vise le cœur, pas les jambes » (d’où le titre du film de Cédric Anger). Pour partager un article, il suffit de cliquer sur les boutons de réseaux sociaux correspondants.
Alain Lamare, membre du peloton de surveillance et d’intervention, est détenu par les gendarmes de Chantilly (Oise) sous l’inculpation d’être “tueur de l’Oise” depuis quatre ans. Dans l’après-midi du 8 avril 1979, le gendarme Lamare est transféré de la prison de Chantilly au palais de justice de Senlis.
Alain Lamare, le visage dissimulé par un sac pour ne pas être photographié ou filmé, roulait dans une Peugeot 504 de la police qui filait à toute allure, suivi d’une caravane de véhicules médiatiques.Les forces de l’ordre ont emprunté les routes secondaires, bondées en ce dimanche de printemps ensoleillé, pour échapper à leurs poursuivants.
Cela s’est passé au croisement de la colonie d’Apremont. Un jeune cyclomoteur était sur le point de s’écraser et de brûler lorsqu’il a soudainement vu un essaim de voitures foncer vers lui. La deuxième voiture de l’équipe de journalistes a percuté et tué son passager arrière, Gérard Bastien, six ans, qui était destiné à mourir sur le bord de la route.
La voiture s’arrêta rapidement. Les reporters ont poursuivi leur poursuite et ont essayé d’avertir la police par divers moyens, dont des radiotéléphones, mais la police ne les a pas crus car ils pensaient que tout cela était un faux. La famille Bastien n’est pas informée du décès de Gérard avant plusieurs heures. Le père a ensuite retrouvé le corps de son fils dans un abri de jardin du centre communautaire, à côté de matériel de jardinage.
Le juge d’instruction a déclaré le motard et l’automobiliste coupables, mais en 1981, ils ont été condamnés à une peine sans lieu qui a été confirmée par la cour d’appel d’Amiens. Les gendarmes qui ont organisé le transfert sont ceux qui méritent vraiment le blâme, selon les parents de Gérard Bastien.
L’adjoint au maire de Senlis, M. Eric Degrémont, leur écrit neuf mois plus tard : « Si j’ai demandé et obtenu des sanctions contre les responsables, c’est moins parce que ceux-ci avaient manqué de diligence.
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