
Agnes Lassalle Enfants – Mercredi, l’un des élèves de 16 ans d’Agnès Lassalle au lycée privé Saint-Thomas d’Aquin de Saint-Jean-de-Luz, dans les Pyrénées-Atlantiques, l’a mortellement poignardée dans sa classe.Cette dame de 52 ans a tout donné au travail qu’elle faisait depuis 1997 et elle était très aimée de ses collègues et de la direction.
Une collègue à la retraite affirme qu’Agnès Lassalle n’a laissé à ses anciens élèves que des souvenirs positifs. “Il était clair qu’elle aimait ce qu’elle faisait”, a déclaré l’un de ses anciens élèves.Cet étudiant espagnol honoré ne quittait jamais l’enceinte de l’école et était toujours ponctuel.
Fidèle à sa réputation de bosseuse, elle commençait ses journées tôt et les terminait tard le soir. Elle a utilisé toutes ses forces pour s’occuper de ses élèves.Le compagnon de la victime s’est exprimé à l’appui des propos ci-dessus, affirmant qu’Agnès Lassalle “a fait son travail avec dévouement”. Le couple n’a pas d’enfant et vit à Biarritz.
“Son travail lui prenait presque tout son temps, même en vacances. Une personne incroyable est décédée subitement sur son lieu de travail. Cette personne n’était pas impliquée dans le conflit, et c’était extraordinaire la rapidité avec laquelle il l’a appris”, avait-il ajouté. à elle.
Agnès Lassalle, qui parle couramment l’espagnol, a été très impliquée dans l’organisation des sorties scolaires. Elle a un profond amour pour le flamenco et se consacre à l’organisation de projets scolaires, comme celui-ci, qui vise à faire découvrir à ses élèves les festivals locaux.
Des centaines de personnes ont assisté aux obsèques d’Agnès Lassalle vendredi à Biarritz. Lassalle était l’enseignante de 53 ans qui avait été assassinée par l’un de ses élèves à Saint-Jean-de-Luz la semaine précédente.Famille, amis, inconnus étaient « là pour rendre hommage à Agnès, si violemment et si sauvagement heureuse », selon les mots de Mgr Marc Aillet, l’évêque de Bayonne qui présidait la messe.
Sur l’air de guitare classique “Recuerdos de la Alhambra”, ce professeur d’espagnol du Collège catholique privé Saint-Thomas d’Aquin a fait son entrée dans l’église biarrote qui surplombe l’océan.Une sœur du défunt enseignant s’est exprimée au micro pour exprimer sa gratitude aux “collègues qui ont tenté l’impossible”, aux “élèves pour leurs attentions et leur courage” et à la communauté scolaire suite au décès prématuré de l’enseignant.
A la fin de la cérémonie, sur le parvis de l’église et devant le cercueil, le compagnon d’Agnès Lassalle se met à danser seul sur un air populaire interprété par Nat King Cole, et est bientôt rejoint par plusieurs couples de danseurs.Le 22 février au matin, peu avant 10 heures, un étudiant de deuxième année a frappé Agnès Lassalle au niveau génital avec un couteau de cuisine à lame de 18 centimètres. Aucun des travailleurs humanitaires n’a pu la sauver.
Le jeune de 16 ans a été mis en examen pour “assassinat” et en détention provisoire il y a une semaine.Selon le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, l’étudiant “a mis en avant une petite voix qui lui parle” alors qu’il était en garde à vue.
Me Thierry Sagardoytho, l’avocat de l’adolescent, estime qu’une évaluation psychiatrique est nécessaire pour déterminer si le jugement de l’adolescent était “entier” ou “au contraire aboli, ou éventuellement altéré” au moment des faits.
Dernière occasion de réflexion
Avec l’air de guitare classique “Recuerdos de la Alhambra”, ce professeur d’espagnol, employé depuis 1997 au collège catholique privé Saint-Thomas d’Aquin, est entré dans l’église de Biarritz, face à l’océan.Une sœur de la défunte enseignante s’est exprimée au micro pour exprimer sa gratitude aux “collègues qui ont tenté l’impossible”, aux “élèves pour leurs attentions et leur courage”, et à la communauté scolaire après son décès.
Après la cérémonie, le compagnon d’Agnès Lassalle s’est mis à danser seul sur un air populaire de Nat King Cole sur le parvis de l’église et devant le cercueil. Bientôt, d’autres couples se sont joints. Selon le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, l’étudiant “a mis en avant une petite voix qui lui parle” devant la classe.
Me Thierry Sagardoytho, l’avocat de l’adolescent, a déclaré qu’il croyait que l’adolescent devait être évalué par des psychiatres afin de déterminer si oui ou non le jugement de l’adolescent était “entier” ou “au contraire aboli, ou éventuellement altéré” au moment de l’acte événements.
Des centaines de personnes se sont présentées vendredi 3 mars à Biarritz (Pyrénées-Atlantiques) pour les obsèques d’Agnès Lassalle, une enseignante de 53 ans assassinée dans sa classe par un de ses élèves la semaine précédente à Saint-Jean -de-Luz. Famille, amis, inconnus étaient « là pour rendre hommage à Agnès, si violemment et si sauvagement heureuse », selon les mots de Mgr Marc Aillet, l’évêque de Bayonne qui présidait la messe.
Sur l’air de guitare classique “Recuerdos de la Alhambra”, ce professeur d’espagnol du Collège catholique privé Saint-Thomas d’Aquin a fait son entrée dans l’église biarrote qui surplombe l’océan. Au micro, l’une de ses sœurs a remercié les “collègues qui ont tenté l’impossible”, “les élèves pour leurs attentions & leur courage”, après la mort de l’enseignante.
Le 22 février vers 10h00, un étudiant de deuxième année a balancé un couteau de cuisine avec une lame de 18 centimètres et a frappé Agnès Lassalle aux organes génitaux. Aucun des travailleurs humanitaires n’a pu la sauver. Le jeune homme de 16 ans a été placé en détention provisoire pour interrogatoire et enquête sur des allégations d’« assassinat » au cours de la semaine écoulée. Selon le procureur de la République de Bayonne, Jérôme Bourrier, l’étudiant “a mis en avant une petite voix qui lui parle” alors qu’il était en garde à vue.
Me Thierry Sagardoytho, l’avocat de l’adolescent, estime qu’une évaluation psychiatrique est nécessaire pour déterminer si le jugement de l’adolescent était “entier” ou “au contraire aboli, ou éventuellement altéré” au moment des faits.Ceux qui ont connu et travaillé avec Agnès Lassalle, la professeure d’espagnol assassinée par un de ses élèves au lycée Saint-Thomas d’Aquin à Saint-Jean-de-Luz, la décrivent comme une professionnelle dévouée et très respectée.
