Affaire Vanessa Melet – Annick confie au Figaro qu’elle espère la revoir, et c’est ce qui la fait avancer. Vanessa a mystérieusement disparu du domicile de sa mère le décembre.
Ville de Langrune sur la côte (Calvados). Sa nouvelle maison était située à la périphérie de Caen, où elle vivait seule. Vanessa vivait avec sa mère au moment de sa disparition.
Ma mère habite à Langrune-sur-Mer, à quelques centaines de mètres seulement de la Manche. Un congé de maladie est alors accordé au trentenaire. Annick, qui est extrêmement proche de sa fille, explique “Je l’ai eue à la maison parce qu’elle était malade.” De
Le mois d’octobre était le premier mois où Vanessa avait ressenti une gêne importante dans son bassin. Marcher, conduire et même descendre des escaliers étaient difficiles pour elle. Annick se souvient à quel point c’était devenu difficile pour elle, alors elle est rentrée chez elle. Vanessa fait partie de ces personnes.
CHU de Caen en novembre, mais la maladie qu’elle combat reste un mystère à ce jour
Elle s’est tournée vers plusieurs ostéopathes pour obtenir de l’aide. Annick poursuit : “Nous n’avions aucune idée de ce à quoi sa douleur était liée.”
Le mardi 6 décembre, Annick surprend Vanessa en quittant la maison au matin, et ils sortent pour la journée. Surpris, il l’était. A cette heure de la journée, elle ne quittait jamais la maison. Elle parlait toute seule quand je me levai.
à l’effet de demander : « Est-ce que je mets mon manteau ? Annick se souvient de sa réponse : « Non, Vanessa, tu ne sors pas, il fait noir ». Vanessa part de la même manière qu’elle est arrivée, sans clés, sans argent et sans sac. Elle a promis de revenir après une promenade.
mère. Ses derniers mots ont été : « Je ne reviendrai pas. Tous les jours à 17h00, la gendarmerie visite la maison d’Annick. Sur le côté droit de la maison, les chiens sortent.
courants marins avant de s’arrêter à un ponton.Une information judiciaire ayant été ouverte en février par le parquet de Caen, la possibilité d’une ingérence extérieure ne peut être exclue.”
out, et une piste comme celle-là mérite une refonte en profondeur. En conséquence, j’ai décidé d’ouvrir une information judiciaire officielle”, se souvient Carole Étienne, l’ancienne procureure de la République de Caen. La disparition de Vanessa Melet reste à ce jour un mystère.
Michel, le beau-père de Vanessa se bat depuis cinq ans pour savoir ce qui est arrivé à sa fille depuis maintenant cinq ans. Nous menons notre propre enquête au quotidien”, expliquent-ils. Ils accusent la gendarmerie de mener une enquête bâclée et souhaitent que le dossier soit transféré au parquet de Caen.
Les criminels sont poursuivis par la police.Ils voulaient qu’on sache que Vanessa s’était suicidée, alors ils ont appelé”, explique Annick. Même si Vanessa était en vie
sa mère n’a jamais cru à la théorie du suicide à cause des douleurs inexpliquées de sa fille et du fait qu’elle avait coupé tout contact avec ses amis depuis le 26 novembre.”
Vanessa était de bonne humeur.l’attention et la gratitude de tous. Elle avait un grand sens de l’humour et était toujours d’humeur égale. Lorsqu’elle a repris le travail début janvier, elle était folle de joie », raconte-t-elle. Annick sera maltraitée et même abusée lorsqu’elle comparaîtra devant le juge dans cette affaire en janvier.
soupçonnée d’avoir effacé son enfant de sa vie Mais “j’ai été inconsolable pendant deux mois à cause des imprécisions du juge”, raconte-t-elle.
VOIR AUSSI – Les critères d’une disparition inquiétante sont l’âge, le profil et les indices.Dans l’esprit d’Annick, Vanessa a quitté la maison le 6 décembre 2016 pour trouver quelqu’un qui l’attendait à l’extérieur.
Elle était incapable de marcher. ‘ Au petit matin, elle a été ramassée et chassée”, se souvient une psychothérapeute-hypnotiseur près de Caen, médecin de prédilection de Vanessa.
Deux jours auparavant, elle avait consulté un professionnel de la santé mentale. Vanessa souffrait atrocement et était terrifiée à l’idée de retourner à l’hôpital.
Annick est surprise de la durée de la première consultation. Il a fallu des heures à Vanessa pour sortir de l’armoire. » Ils s’étaient tous rassemblés dans la salle d’attente pour attendre son arrivée. Annick se souvient à quel point elle était épuisée lorsqu’elle est sortie de l’hôpital.
Vanessa a un rendez-vous de kinésithérapie à 16h30. le lundi décembre, et elle part avec sa mère et sa tante. Après une demi-heure, j’étais prêt à partir.
Sur le parking du cabinet du kiné, Annick revoit le psychothérapeute-hypnotiseur de la veille : il est dans une Renault Espace gris clair, garée juste à côté de la sortie. .
Qu’est-ce que ce type fout ici ? Nous nous sommes demandé.La mère de Vanessa est également intriguée par le fait qu’il y avait quatre centraux téléphoniques.Quelques heures avant d’être aperçu en train de quitter le kiné, ce psychothérapeute hy
