Affaire Hennequin – Deux employés du Grand Hôtel de Saint-Quentin ne retournent pas au travail le matin du 20 janvier 1997 et personne ne répond au téléphone lorsqu’ils appellent. Ils préviennent le gérant du commerce voisin, qui leur remet alors une clé de l’hôtel. Le Grand Hotel est plongé dans la solitude et l’obscurité.
Les ouvriers montent à l’étage où Léo Roupioz, le propriétaire, a son appartement. Pas une seule personne n’a répondu. Ils défoncent la porte et voient le corps de Léo Roupioz, âgé de 72 ans, gisant dans une mare de sang. Sa logeuse et copropriétaire de 66 ans, Gisèle Kunstler, se tient à ses côtés. Les deux victimes ont subi un grave traumatisme crânien à la suite des attaques.
Aussi vite, la gendarmerie de Saint Quentin est alertée, et les agents de la paix prennent d’assaut l’hôtel. Les équipes d’enquête recherchent le réceptionniste et le chasseur de l’hôtel dans un hôtel désert. L’hôtel est actuellement vacant.
Leurs recherches les mènent sous terre, où ils retrouvent le corps de Michèle Fabris, une réceptrice de 32 ans. Ils trouvent le garçon d’étage enfermé dans la réserve pas trop loin. Le jeune homme choqué désigne immédiatement le veilleur de nuit Jean-Baptiste Hennequin comme l’assassin.
Au Grand Hôtel de Saint-Quentin en 1997, Jean-Baptiste Hennequin a assassiné trois personnes. Le jeudi 2 décembre 2021, RMC Story diffusera un nouvel épisode lié à l’affaire. C’est une nouvelle que les Français trouvent intéressante. Un veilleur de nuit du Grand Hôtel de Saint-Quentin dans les Alpes françaises a fait irruption dans la chambre de l’hôtelier de 62 ans Jean-Baptiste Hennequin et de sa femme.
Suite à cela, il a commis une agression sexuelle à leur encontre et a volé leurs vêtements. Puis il assassine le propriétaire du restaurant, Léo Roupioz, 72 ans, et sa femme, 69 ans, Gisèle Kuntzler, qui y travaillaient tous les deux. Tout d’abord, le tueur kidnappe le marié et le retient jusqu’à l’arrivée de la réceptionniste.
Il a quitté les lieux en brandissant une arme. Voici comment ça a bien marché : il a volé la voiture de sa troisième victime. Il a été découvert plus tard à Amiens, neuf jours après avoir été volé à Paris; la Polo volée appartenait au propriétaire. Son corps disparaît dans les airs pour qu’il puisse faire ce qu’il veut.
Nous devinons un nom : Triplé mortel : Un quart d’année après son évasion, la police de Paris Hilton l’a arrêté sous un faux nom. Lors de son procès en 1999, il a été condamné à la prison à vie avec une peine de sécurité irrévocable de 22 ans, qui a été prononcée le même jour que sa peine à perpétuité. Les flics ont localisé le marié caché dans le sous-sol, y ayant apparemment été emmené.
La première personne à informer les autorités sur Jean-Baptiste Hennequin est cette personne. Le meurtrier a conduit sa moto jusqu’à Paris après avoir tué plusieurs personnes. Là, il s’engage dans l’armée sous le nom de Jean Dampierre.
Un veilleur de nuit de 61 ans nommé Jean-Baptiste Hennequin au Grand Hôtel de Saint-Quentin (Aisne) a brutalement assassiné deux autres veilleurs de nuit et la réceptionniste de l’hôtel en 1997. Lors de son procès, il n’a donné aucune explication sur ses actes et a plutôt s’est présenté comme la seule victime de la tragédie.
Après des mois de critiques quotidiennes et une absence d’adulation de la part de ses supérieurs, il est finalement convaincu de prendre sa retraite. L’accusé dans cette affaire, reconnu coupable et condamné à la prison à vie assortie d’une caution de 22 ans à Laon, n’a pas réussi à convaincre le jury de son innocence.
Trois corps sont retrouvés dans les sous-sols du Grand Hôtel de Saint-Quentin en janvier 1997. Hennequin, le meurtrier, n’a jamais révélé le mobile de son crime odieux. Deux employés du Grand Hôtel de Saint-Quentin n’ont pas pu entrer dans le bâtiment le matin du 20 janvier 1997 et il n’y a pas eu de réponse au numéro de téléphone principal de l’hôtel.
Ils informent la direction d’un magasin voisin et reçoivent l’autorisation d’entrer dans l’hôtel. Le Grand Hôtel est complètement plongé dans l’ombre et l’isolement. Léo Roupioz a une suite au deuxième étage. Personne ne semble répondre. Ils sont entrés par effraction dans la pièce et ont trouvé Léo Roupioz, 72 ans, gisant dans une mare de son propre sang.
Gisèle Kunstler, la matriarche de 66 ans et propriétaire de l’auberge, se tient à ses côtés. Des coups violents à la tête ont été utilisés pour tuer les deux victimes. Quand les flics sont arrivés, l’hôtel était déjà bouclé par une nuée de casques bleus.
Le hall vide de l’hôtel est l’endroit où les détectives recherchent l’employé de la réception et le chasseur. L’hôtel est totalement vide. La réceptionniste, Michèle Fabris, a été retrouvée morte au sous-sol. Il y a eu 32 ans entre elle et nous. Le garçon de chambre se retrouve enfermé dans un cachot voisin. Après un meurtre, un jeune homme identifie rapidement le veilleur de nuit comme le tueur.
Le matin du 20 janvier 1997, les sapeurs-pompiers de Saint-Quentin répondent à un appel au Grand Hôtel, un établissement phare du quartier situé au 6 rue Dachery et réputé pour ses normes élevées et son emplacement pratique. A leur arrivée, les pompiers ont trouvé le directeur de l’hôtel Léo Roupioz et sa femme, Gisèle Kunstler.