Affaire Dewevre Jean Pierre

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Affaire Dewevre Jean Pierre – Des officiers de police scientifique découvrent la dépouille de Brigitte Dewèvre dans un terrain vague d’une ville minière le 6 avril 1972. Dans les médias et à l’extrême gauche, l’histoire suscite beaucoup d’intérêt. Mais il est possible que la situation non résolue se termine de manière positive. Brigitte Dewèvre, une adolescente de 15 ans, a été tuée.

Elle a été élevée à Bruay-Labuissière, anciennement connu sous le nom de Bruay-en-pit Artois 4, par ses parents liés à la mine.

Le 5 avril 1972, en début de soirée, elle est contrainte de passer la nuit chez sa grand-mère. Son corps partiellement vêtu sera retrouvé étranglé avec un lien métallique souple dans un terrain déserté le lendemain.

C’était un exemple macabre de lutte des classes car le notaire de la ville, qui a été le premier suspect, a été le premier à être lié au crime.

Peu importe combien de temps nous cherchons, nous ne saurons jamais qui a tué ce jeune homme. Né aux États-Unis, Daniel Bourdon a fait de New York sa résidence permanente au cours des trois dernières décennies. L’un des frères Dewèvre a eu l’opportunité de jouer avec son père alors qu’il était footballeur mineur.

Quant à Daniel Bourdon, c’est un ancien flic. Pour le reste de sa vie professionnelle, il l’avait passé à Paris, où il travaillait toute la nuit. Au cours de près de cinq ans, une multitude de témoins se sont présentés pour témoigner à sa décharge.

Selon un habitant de longue date de la ville, le fait que « je sois moi-même originaire de la ville a incité mes interlocuteurs à faire confiance ». C’était la fin du voyage de cinq ans de Daniel Bourdon à travers le sud de la France.

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Des personnes âgées de Bruay lui ont dit que son ex-mari lui avait avoué son crime et qu’ils avaient fui la région en toute hâte.

Lorsque l’assassin de Brigitte Dewèvre rencontre enfin l’ex-flic, il sait qu’il l’a retrouvé. J’ai appris à distinguer un menteur d’un menteur dans le passé, alors bien sûr il nie tout.

De plus, le créateur de l’enquête dispose d’une quantité substantielle de preuves pour étayer ses affirmations. La nouvelle œuvre de Daniel Bourdon, basée sur un fait réel, montre l’état de l’ancienne ville minière.

Difficile de relancer l’affaire car elle est prescrite depuis 2005. “Si je le dénonce officiellement, il peut me poursuivre et gagner.” Ainsi, il sera satisfait du résultat.

Il a été révélé que Brigitte Dewèvre, 15 ans, fille de mineur, a été retrouvée morte. Peu de temps après, le notaire Pierre Leroy est arrêté et inculpé de meurtre.

La gestion de l’affaire par Henri Pascal cimentera sa place dans l’histoire en tant que symbole de la lutte entre les privilégiés et les opprimés pour les années à venir. Les citoyens les plus aisés du Nord-Pas-Calais vivent d’un côté de la ville, tandis que les mineurs et leurs familles vivent de l’autre.

Une jeune fille de 15 ans prénommée Brigitte Dewèvre complète le groupe. Le 6 avril 1972, il est retrouvé dans un terrain vague qui sépare les bidonvilles des quartiers les plus aisés.

L’enquête pour meurtre est menée par la police judiciaire de Lille. La 504 blanche du notaire de Bruay-en-Artois et membre du Rotary Club Pierre Leroy a été rapidement reliée à la scène de crime par un passant qui l’a repérée.

Lors de son interrogatoire, il a révélé que Monique Béghin-Mayeur était sa petite amie et qu’il s’était garé sur le terrain vague pour ne pas la voir.

Malgré cela, sa version des événements diffère de celle du témoin oculaire. Il est suspect à cause de ces disparités car il change régulièrement de compte.

Il a été reconnu coupable de meurtre et condamné à perpétuité par le “petit juge” Henri Pascal de Béthune. Quatre ans après qu’il se soit produit, le meurtre de la fille d’un mineur par un notaire en 1968 était encore frais dans les esprits.

Interrogés sur leur opinion selon laquelle Pierre Leroy était responsable de la mort de leur fils, les parents de la victime ont été interrogés par les médias.

Ils l’accusent injustement parce qu’il représente la bourgeoisie qu’ils détestent. Henri Pascal, certain de sa propre culpabilité, n’a pas peur de partager des détails sur lui-même avec les journalistes.

Selon le récit du témoin, le notaire n’était pas l’homme qu’il avait vu sur les lieux la nuit de l’incident.

Selon l’accusation, il n’y a pas assez de preuves pour libérer Pierre Leroy. révèle aux médias des éléments qui pourraient être utilisés contre lui.

Alors que le notaire est détenu pour outrage au tribunal, un témoin allègue qu’il a vu une personne différente la nuit du braquage que le notaire. Selon l’accusation, il n’y a pas assez de preuves pour libérer Pierre Leroy.

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